Les vacances, excellente saison pour la lecture : dans le creux d’un rocher, à l’ombre d’un feuillage…
      Dieu sait combien nos intelligences ont soif de vérité. Une soif qu’on ne sent pas toujours, mais qui se découvre quand on se replonge dans les livres.

Passer des vacances avec de bons amis est un bonheur. Mais y a-t-il meilleurs amis que les vies de saints ? Ces condiments de la vie des hommes sur la terre (saint Bernard), on ne les perd jamais ; toujours on en tire quelque profit.
Avez-vous déjà lu les vies suivantes ?

Et bien d’autres encore, par ici →

« Les enfants ont demandé du pain, et personne n’était là pour leur en donner » (Lamentations de Jérémie, IV, 4). Les enfants ont faim, faim de vérité, de bien et de beau. Ils n’apprécient pas qu’on les abêtisse ; ils aspirent à la lumière. Un témoignage ? Il sera long, vous êtes prévenus… C’est parti !

« Aujourd’hui, les enfants lisent des bandes dessinées qui les font rêver à des histoires de cow-boys ou de science-fiction. Nous lisions aussi des bandes dessinées, mais qui nous racontaient les vies de saints (très précisément la collection « Belles histoires, Belles vies » aux éditions Fleurus). J’étais fasciné par saint Benoît et saint Bernard, en partie à cause des dessins de Robert Rigot.
      « Au moment de la réouverture de la cathédrale de Rouen en 1956, alors que nous nous préparions à la grande procession dans la cour de l’archevêché, il y avait là une multitude d’évêques, de cardinaux… et au milieu d’eux, hiératique, un moine qui ressemblait exactement à saint Bernard. La fiction et la réalité concordaient parfaitement. Depuis, je suis incapable de comprendre qu’on puisse être indifférent à ces dessins… » (Francis Pinguet).

« Je vous écris, jeunes gens, parce que vous êtes forts et que la parole de Dieu demeure en vous… » (I Jean, II, 14). Voici quelques bons ouvrages pour que cette parole de Dieu pénètre et demeure dans l’âme des jeunes gens.

Pour ceux qui en souhaitent davantage →

Le Curé d’Ars disait : « Ce seul péché d’ignorance en damnera plus que tous les autres ensemble. »
      Deux petits conseils de libraire :
1° N’achetez pas trop de livres, choisissez les meilleurs. On se perd lorsqu’on se disperse. On finit par chercher la doctrine n’importe où, sur la dernière vidéo ou sur le dernier message de forum. La foi en prend un sérieux coup.
2° Trouvez un bon conseiller. Guy Rouvrais raconte comment, durant sa conversion, Dieu lui fit la grâce de rencontrer un bibliothécaire qui lui offrit de précieux avis sans lesquels il se fût noyé. Ce fut là une grande grâce.

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Vous vous retrouvez à deux, à trois, ou plus ? Prenez un livre et lisez. Au bout d’une heure, vous clôturez la séance, vous fixez un nouveau rendez-vous, et de ce coup, le cercle est créé.
      On ne peut estimer le bien que produit sur les esprits une lecture commune et régulière. Les titres donnés ci-dessous ont été particulièrement appréciés durant ce type d’étude.