Le Forum Catholique

Solène et Soazig ont grandi au sein de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X, une communauté catholique intégriste où les femmes doivent obéissance et soumission aux hommes. Elles se sont enfuies après avoir subi des violences physiques et psychologiques. Récits parallèles d'une quête de la liberté.

Un article si grotesque que l'on n'a guère envie d'écouter le podcast...

sont toujours les mêmes :

. appartenance des instituts traditionnels :

- soit à l'extrême-droite,
- soit à un phénomène sectaire.

Cette dernière accusation a déjà été invoquée, par les mêmes, et toujours contre la FSSPX, à propos de la vaccination contre la rougeole. Les journalistes prétendaient même démontrer que partout où il y avait des écoles de la FSSPX, il y avait une recrudescence de l'épidémie de rougeole dans la région.

Ces journalistes ne comprennent pas le catholicisme traditionnel et assimilent, notamment la FSSPX, à une secte protestante américaine, voire à la secte Moon.

... sont les échanges entre un journaliste anti-tradi et un prêtre sur le statut de la FSSPX: le journaliste, Thimothée de Rauglaudre, rappelle que la FSSPX n'est pas schismatique. Il cite La Porte latine.

lorsque l'on témoigne publiquement on ne le fait pas sous un pseudonyme, sinon le témoignage n'a aucune valeur, en un mot il est nul.

Il est vrai que un très très petit pourcentage peu se comporter comme les parents de ces jeunes femmes. Il existe des gens sectaires dans tous les milieux et non pas seulement dans les milieux religieux, comme par exemple les mariages arrangés entre grosses fortunes... ou milieux sociaux ce qui revient à peu près au même.

Je connais bien ce milieu de la FSSPX et je peux vous dire que j'ai connu ce genre d'attitude de la part de parents excessifs. Tout le monde s'en écarte (des parents) car ils ne constituent pas LA RELIGION CATHOLIQUE, mais un esprit sectaire genre Arien ou Cathare ou autre secte chrétienne comme il y en a tant eu de par les siècles.

La religion ne repose pas sur des contraintes mais sur l'enseignement et les bons conseils.

Fatima et Marlène ont grandi au sein de la communauté musulmane de France, une communauté ouverte et moderne soutenue par l'Etat où les femmes doivent obéissance et soumission aux hommes. Elles se sont enfuies après avoir subi des violences physiques et psychologiques lors de leur conversion au catholicisme au sein de la Fraternité Saint Pie X. Récits parallèles d'une quête de la liberté.

Non ?

On trouve deux oies,garçon ou fille, qu on manipule et qui se sont fait des idees ou sortent de familles bizarres.
Les femmes de la FSSSPX vivent differement selon les familles: travaillent ou pas ,s'habille mode ou pas,ont de l argent ou pas, ont des enfants en rallye ou pas ,ont des enfants en ecoles sous contrat ou publique et st Pie X ou que st Pie X....

C est très varié!

truc idiot!

Il y a en revanche des milieux petits-bourgeois, bourgeois, des milieux de classe moyenne ou de classe populaire dans lesquels on retrouve les catholiques pratiquants, et pas seulement les tradis. Je n'ose pas dire - disons-le quand même - que les catholiques disciples de la "CIASE" sont tout, sauf populaires et que l'on retrouve aussi de l'entre-soi.

Que le traditionalisme, toute obédience confondue, se retrouve dans certains milieux est un fait, mais cette volonté - plus journalistique que sociologique - de vouloir créer une sorte de milieu homogène regroupant tous les "saintpiedistes" et qui vivrait en vase-clos me laisse franchement sceptique. Le traditionalisme, sur le plan numérique et des effectifs, ne représente pas grand-chose dans la société française. C'est trop infinitésimal pour que l'on puisse établir des généralités. Le phénomène est plus à l'échelle d'individus et de familles.

Quand on disserte sur le milieu "catho", on ne disserte pas sur leur milieu, mais plutôt sur les couches sociales où on les retrouve. Ma grande impression est que le catholicisme français est un catholicisme de classes moyennes et supérieures, de cadres et de professions libérales. Et les milieux populaires, sauf apports étrangers ou ultramarins, n'y sont pas présents. Et ce ne sont pas les appels à la synodalité, à "aller aux périphéries" qui transformeront ces zones de conforts en grand large.

Les cas extrapolés par le reportage sur les familles liées à la FSSPX ne sont pas représentatifs, même si la tendance de certaines familles peut être l'enfermement. Il n'empêche que ces dérives sectaires se retrouvent un peu partout, et ne sont pas forcément liées à des options religieuses.

Tout est dit.
On à l'habitude...

Il vient d'une famille connue, qui a des liens avec le traditionalisme, je ne pense pas qu'on puisse dire qu'il est neutre et objectif.
Il a fait un peu le grand écart dans sa vie personnelle, il suffit de lire son compte twitter, il a vraiment des comptes personnels à régler avec une Eglise où il ne trouve pas sa place, où il ne veut pas trouver sa place.
D'où son ton régulièrement caustique, sa série d'attaques contre la Communauté Saint-Martin (que je n'apprécie pas outre mesure d'ailleurs mais quand-même...) est un bon exemple.
Les ensoutanés
Il est toujours dans le même registre, un peu celui de Golias, plutôt que de faire du journalisme, il règle des comptes, les siens.
Curieux que France Culture descende si bas en lui donnant la parole : avoir une couleur politique et idéologique ne devrait pas autoriser la médiocrité, la fin ne justifie pas les moyens.

La radio publique s'intéressait peu ou pas au catholicisme traditionnel...aurait elle désormais identifié un mouvement qu' il devient impossible de nier et nécessaire de combattre (non par le débat mais par la manipulation bien sûr)?

En lisant son compte Twitter, on s'aperçoit qu'il veut désespérément montrer qu'il est à gauche bien qu'il aille à la messe le dimanche. ça a eu marché, mais aujourd'hui la gauche n'a plus besoin de ce genre d'idiot utile et le rejette. Alors il tente quand même de se faire accepter : il affiche tous les marqueurs de gauche, il va à la fête de l'Huma etc. Il admet qu'il va à la messe le dimanche, certes, mais il se vante d'arriver systématiquement en retard pour bien montrer qu'il est libre, Max. Il exhibe ses trouvailles chez un bouquiniste d'un livre de Mgr Gaillot ou d'un livre sur christianisme et communisme. Il soutient la liturgie LGBT des évêques flamands. Bien sûr, il combat les "intégristes", pour essayer de bien démontrer que lui n'en est pas un, attention, ne pas confondre. Mais c'est le malheur d'un catho de gauche de toujours être en retard sur le train du progrès. Ainsi pour Timothée, déjà affligé d'être blanc et d'avoir un prénom bien catho-catho, l'euthanasie c'est pas possible, ça passe pas. Erreur 404. Que va préférer Timothée ? Sa religion, ou la religion de la gauche ? Vus les aplatissements qu'il a déjà consentis, c'est très prévisible. Il restera à gauche, il mettra juste quelques années à accepter l'euthanasie. Il restera toujours banni par la vraie gauche. Il en souffre, et il prendra les "intégristes" comme défouloir. Et puis un jour il écrira le nième livre sur le thème "Pourquoi j'ai quitté l'Église" et là il sera enfin vraiment reçu par la Gauche, cette Jérusalem terrestre.

Il se rendra compte de l'impasse et se convertira !

Le pire n'est jamais certain, et c'est tout le mal que je lui souhaite.

"[...] la liberté de la presse, liberté la plus funeste, liberté exécrable, pour laquelle on n’aura jamais assez d’horreur et que certains hommes osent avec tant de bruit et tant d’insistance, demander et étendre partout."

Grégoire XVI

Mirari Vos que vous citez vise essentiellement je crois "une multitude immense de livres, de brochures, et d’autres écrits ... les livres suspects et dangereux" et se flatte que l'Eglise depuis les temps apostoliques n'ait pas craint non seulement de les interdire mais encore de les détruire "consumés par les flammes" .

Et non à proprement parler les journaux, ce qu'aujourd'hui nous appelons en effet la presse.


Au reste son successeur d'heureuse mémoire le bienheureux Pie IX dès les débuts de son pontificat institue-t-il justement la liberté de la presse, au sens moderne il me semble, au sein de ses Etats. Certes avant de déchanter et de sévir par la suite.

Celui de Grégoire XVI, l'auteur de la dite Encyclique, donc.