Le Forum Catholique

Ils leur apprennent quoi, dans les cursus de théologie ?

Parce que après, ces théologiens font des évêques et des gens qui enseignent la théologie, élèvent des catéchistes en batterie et préparent l'apo... Heu la synodalité.

C'est plus grave et plus problématique que des réponses sur un site (visiblement) participatif dont j'ignorais l'existence avant que XA n'en parle ici à plusieurs reprises.

Si on compile les tribunes et positions publiques favorables à TC avec les arguments les plus fallacieux et les plus faux envers les tradis, on ne va pas tarder à s'apercevoir que nombre d'entre elles émanent de "théologiens" et d'enseignants en théologie.

C'est un vrai problème, mal et peu abordé.

Dernière en date, la (fausse) croix.

Il me semble qu'il appartient à ceux qui ont quitté le monde tradi et de ce fait, tel Lucifer entrainant les anges déchus à sa suite, il ne vit que pour détruire ce d'où il vient afin de justifier sa trahison.

sous Benoît XVI et il est pour François sous François.

Il a fait toute sa carrière comme ça. C'est un opportuniste. Le pouvoir a toujours raison et il est là pour justifier les décisions prises par le pouvoir en place !

Je trouve sa prose franchement inintéressante et lourde. Je ne comprends pas cette complexité qui frise les noeuds au cerveau. J'ai plus l'impression de lire quelque chose où l'auteur se prend la tête et se noie avec un magistère qui devient aussi sirupeux que soporifique. Franchement, je préfère ne pas perdre mon temps avec ce genre de texte.

Gregory Solari est un adepte de la poésie spiritualo-religieuse dans sa version la plus lourdingue. Les éditions Ad Solem se sont spécialisées peu à peu sous son influence dans la publication de « poètes » catholiques qui s’adressent à un public d’initiés. Jamais rien lu d’aussi nul.
Nathalie Nabert, longtemps doyenne de l’Institut catholique, publient chez eux ses niaiseries depuis une vingtaine d’années. Un exemple de sa prose d’illuminée : « Nous sommes des êtres liturgiques, parce que nous marchons dans le temps et que Dieu habite ce temps. Nous sommes dans l'égrainement des jours et des saisons. Nous sommes la traversée de la vie et de la mort, l'affleurement de l'aube et le dépôt du crépuscule, le retour des heures et des événements dans le sanctuaire de l'âme etc etc…. »

qui vit aussi dans un cénacle étroit. On aimerait faire le lien entre le fait qu'ils sont rémunérés dans les différents instituts catholiques et leur production théologique inintéressante... Voilà un vrai sujet à mettre sur la table ! Je suppose que le Père Drouin, outre le fait de nous égrener des conférences de Power-point, est aussi, je suppose, rémunéré pour ce qu'il fait comme président de l'Institut supérieur de liturgie de la Catho.

un langage de théologien. A ne rien y comprendre pour le commun des mortels, sauf que l'on sent transpirer que les tradis sont bêtes et méchants

Vous décrivez en fait le parfait jésuite dans toute sa splendeur :"opportuniste", détruisant avec malice l'enseignement qui lui a été transmis, etc... et tout heureux d'avoir obtenu un strapontin dans un journal "bien sous tout rapport"

Il a passé jadis une thèse de philosophie.

Il est éditeur, et depuis qu'il crache sur ses anciens amis il a obtenu un poste à l'Institut catholique et une chronique à Radio Notre Dame (outre son blog hébergé par La Croix).

Il obtenu sa récompense...

La poétesse voyageuse Nathalie Nabert, le prêtre architecte d'intérieur Gilles Drouin, l'"appelé" Gregory Solari : la NDS , le nouveau trio magique de la Catho...

Faites revenir Alice Coffin...

Le langage de Grégory Solari n'est pas celui d'un théologien, mais d'un cuistre post-moderne qui se gargarise de formules et de phrases qui ne veulent rien dire ("Tout se passe comme si de part et d’autre d’un arc tendu entre deux régimes de l’histoire de l’Église, les horizons fusionnaient").

Je n'imagine ni les Pères de l'Église, ni les théologiens scolastiques s'exprimer de cette façon amphigourique et prétentieuse.

Quant à l'absence prétendue de l'Ancien Testament dans la liturgie traditionnelle, cela ressemble à une mauvaise plaisanterie. Grégory Solari ne connaît visiblement ni les antiennes et graduels presque tous tirés de l'Ancien Testament, ni les lectures des messes des saints ou des féries de Carême, ni les Quatre-Temps, ni bien sûr le Bréviaire.

On notera d'ailleurs, mais ce n'est pas nouveau chez cet auteur, qu'il accrédite l'idée que le Concile a modifié la lex credendi.

Peregrinus

est leur référence au dernier concile, à tort ou à raison. Là réside le nœd du problème.

Si elle a changé, qu'on nous le dise, et qu'on nous dise clairement sur quels points précis elle a changé. Et dans ce cas, nous avons raison de préférer le VOM.

Si elle n'a pas changé, qu'on nous le dise clairement.
Et dans ce cas, ils n'ont pas de raison légitime de nous interdire le VOM.

Cette praxis évolutionniste glissant de la forme au fond est typiquement progressiste. L’argumentation du motu proprio « des geôliers de la tradition» révèle que la crise moderniste est loin d’avoir cessé.

S'il y a « différence fondamentale » (sic) entre les deux missels, il y a modification de la lex credendi et donc toute légitimité à refuser les dictats de Rome. En plus de ne rien connaître aux sujets qu'il évoque, il a des problèmes de logique.

Solari, "théologien" depuis quand ?
Ce personnage n'a rien qui lui permette de se parer d'un tel titre.