Le Forum Catholique

Des Etats-Unis ne viennent pas seulement des politiques douteux à 99,9 % et des sectes chrétiennes pour tous les goûts et tous les généalogistes...

J'offre de grand coeur ces quatre minutes dirigées par l'une des rares femmes chef d'orchestre et organiste, dans cette église presbytérienne, my God...

Le final de l'Ouverture 1812 de Tchaïkovski (1880), composée en souvenir de l'entrée et de la défaite des Français à Moscou.
La première version introduit les orgues, les cymbales, remplace les cloches... mais Dieu que c'est magnifique !
Les paroles russes par-dessus sont une louange à Dieu et au tsar de toutes les Russies.

Le compositeur a aussi introduit l'usage exceptionnel du... canon !

Ce genre de musique convertirait n'importe qui, et je pleure à chaque fois que j'entends nos chants souvent atroces ou gnangnan, aussi bien dans le NOM que dans le VOM. Quand je dis que je pleure, j'ai en fait l'envie de prendre l'oreille de la chanteuse sémaphore et de lui claquer la tête contre sa partition ou sa tablette : "hein, c'est ça que tu nous obliges à entendre ?! hein ?!". J'ai encore en travers de la gorge le Veni creator en Français à la dernière Pentecôte par une jeune femme, qui portait des sabots par ailleurs... Personne ne chantait avec elle, évidemment.

Vigano fit un peu office dans l'affaire américaine de l'ex-cardinal... de coup de cymbales et coup de canons.

Diane Bish a la même coupe que la grande M. Thatcher, autre protestante de grande valeur... Et des femmes qui tiennent plus la route que bien des mâles.

Puissiez-vous apprécier et découvrir, si vous ne connaissiez déjà !

1812

Et ceci avec les paroles.
Vous remarquerez que ces jeunes gens sont magnifiques et heureux. Les femmes montrent épaules et jambes, mélangées aux mâles, soit tout ce que détestent ceux qui veulent nous anéantir (sans aucun rapport avec CH !). Les Japonais et quelques Chinois partagent ce même amour des symphonies et de la musique orchestrale. Ce qui fait une culture commune. Allez à Alger ou à Téhéran écouter un concert, regardez si vous voyez souvent des barbus et des voilées dans nos salles de conférence et nos salles de concert (que sont parfois les églises...).

Je me moque royalement de la religion de ceux qui chantent et qui jouent. Pas besoin de savoir qu'ils ont été confirmés ou s'ils se mettent à genoux au dernier Evangile tout en chantant...

Entre ces artistes et les "trois prêtres" (sic) ou les zombies licenciés pour partie de Notre-Dame, il n'y a pas de comparaison possible. Et autres chanteurs à minette type Glorious que de vieilles dames en manque proposent dans les églises pour des adolescents à qui l'on devrait transmettre autre chose.

au moins à partir de la 11e minute

Etrange comme manière de procéder pour partager son amour de Tchaïkovski. Vous vous livrez, comme à votre habitude, à une diatribe politico - religieuse, pas vraiment du meilleur goût. On passe du coq à l'âne, ça se bouscule dans votre tête, dans une tête, on le comprend, sûrement trop fatiguée en cette fin de journée. L'état d'un paranoïaque a en effet tendance à se dégrader dès que la lumière baisse. La musique romantique n'arrange rien à l'affaire. Chez les gens normaux, on dit que la musique adoucit les moeurs; a minima elle pourrait agir comme un sédatif.

Pour vous, ce genre de musique peut faire son entrée dans une église; vous n'auriez pas tendance le dimanche à fréquenter davantage la Philarmonie que la Maison de Dieu?

Pour revenir à cette musique, on peut rêver meilleure version: Karajan ou Abaddo, tous deux à la tête des Berliners.

On a le droit dans les églises, au sein de la messe ?

Et les compositeurs juifs ou protestants ?

Les oratorios, les vêpres... Tout cela peut être assez plastique.

La querelle des anciens et des modernes.

Vous décidez d'arrêter une discipline à l'année X et d'éradiquer le reste.

Charles Gounod dut ferrailler contre les raides, mais c'est lui qui a gagné pour la postérité.

Qu'un ordre interdise tels instruments, c'est son droit (au temps où les ordres avaient leurs propres liturgies...), mais en paroisse, mince alors.

Ceux qui pratiquent ou entendent de la musique baroque ou dite sacrée, ne pensent plus du tout aux églises catholiques et à leurs liturgies...

Les maîtrises anglicanes sont d'un autre niveau et d'une autre beauté que nos chorales à la gomme. Les organistes, pas toujours catholiques, doivent lutter contre la nullité du sémaphore, des catholiques qui ont le micro et de bien des clercs.

Je récuse l'utilisation du mot "romantique", aussi bien en littérature qu'en musique. Comme Tchaïcovski écrit pour un tsar orthodoxe, donc un hérétique, il ne mérite pas d'être entendu pour ne pas blesser l'âme du bon-catholique. Fichtre. Et puis il dit du mal de saint Napoléon... Trump, Napoléon : deux grands catholiques.

Vos considérations psys sont ce qu'elles sont. La psychologie n'est pas une science très exacte. De nos jours, au lieu de dire que tel élève est nul et bête, agité et violent, nos psys les classent dans la catégorie HP (haut potentiel). Voilà vos amis. Moi aussi je suis HP pour le marathon. J'ai deux jambes qui ont du potentiel...
Comme disait André Frossard, l'inconscient pour le croyant est un sac-poubelle dans lequel il y a certes quelques os de poulet à sauver, mais que ceux qui pratiquent l'introspection à tout va sont des malades qui se prennent pour leur remède.

La Maison de Dieu, comme vous dîtes, a aussi une histoire, mais passons...
Pour ma part et quelques autres aussi, j'aimerais que cette maison soit celle du silence et du recueillement. Les adultes et les enfants qui braillent et s'agitent ne respectent guère ces lieux. Mes enfants n'ont jamais pleuré, crié, demandé d'aller aux toilettes. Et je ne me promène jamais dans les rangs, je ne toise pas les gens pour montrer que je suis l'un des mâles dominants du groupe.
Je parle aussi bien dans le NOM que le VOM.
Comme au théâtre, certains, même tradis, pensent qu'avant le début du spectacle, il est permis de s'agiter ou d'arriver à la dernière seconde. Les jeunes enfants ne sont nullement obligés de venir à la messe. Je n'approuve pas davantage ceux qui donnent une torgnole phénoménale à leur gamine, car elle commet le crime de regarder à l'opposé du prêtre après le Sanctus. Quand les parents sont calmes et recueillis, les enfants se calent sur eux. Et si les parents doutent de leurs enfants, ils peuvent être au fond, près des issues. J'espère que vous avez des enfants...

Avec cette citation de la Marseillaise, elle fait penser à Berlioz.

Ce genre de musique convertirait n'importe qui

dites-vous, mais à quoi, à la république ? Pas moi, en tous cas...
Question musique russe, je lui préfère nettement Borodine et Rachmaninov...

J'ouïs régulièrement la Marseillaise sans pour autant être encore converti ! Et l'air me plaît.

Vous devez connaître mon compatriote dijonnais Balbastre, non ? Ne me dites pas que vous n'aimez pas.

Et vous savez que l'essentiel des notes est né avant Rouget de L.

Je n'ai pas désavoué les variations sur la Marseillaise (tant que les paroles ne sont pas dites...) à Notre-Dame lors des différentes messes liées aux attentats (et là, toute la gauche voulait être au premier rang... laïcité !!).

Balbastre

Si cela peut vous réconforter (moi, cela m'inquiète), 99 % des adolescents ne connaissent plus les paroles de La Marseillaise et ne vibrent plus du tout dessus. Il n'y a pas que les musulmans qui y soient réfractaires.
Pour se donner bonne conscience, une mauvaise feuille est dans toutes les salles de classe. Tout le monde s'en f... Je ne fais pas la politique du pire cela dit, car face à ce vide, certains savent le remplir par le coran, et ceux-ci rentrent comme dans du beurre dans le vide sidéral.

Comme aujourd'hui est un jour férié dans l'indifférence générale. Les gens marchent, tondent, percent, creusent. Comme un dimanche ou une Ascension. Il n'est pas question de pavoiser, comme les Britanniques.
Et je ne pavoiserai pas dans les trois couleurs, comme sur le dernier livre du P. Viot...

En 1812, vous auriez été ravi de la défaite de Napoléon ? Qui le sait ?
Si j'avais été sûr que cela préparait le retour du voltairien Louis XVIII, peut-être...
Question oiseuse, j'en conviens.

Si vous aimez les russes, connaissez-vous le concerto bianco de Georg Pelecis ? On a tant à apprendre de cette littérature et de ces peuples (les peuples russes orthodoxes j'entends). Le voisin balte Arvo Part est aussi un sommet de musique religieuse. Oui, mais voilà, c'est pas en latin (parfois, si), c'est pas en grégorien, c'est pas dans le bon rite...

Mon premier souvenir de la Marseillaise, c'était dans une école de village en Haute-Saône, j'avais 5 ans. Un samedi de juillet, en fin d'après-midi (en vue sans doute du 14...), la maîtresse nous convie à écouter les "grands" chanter l'hymne dans la classe d'à-côté tenue par son mari.

Quand je dis "chanter", je devrais dire brailler, c'est resté pour moi un souvenir épouvantable (au sens propre du terme) tant j'en fus effrayé... Et je crois que c'est de ce jour que je garde une aversion particulière et irréversible pour la république, que l'étude de son histoire n'a fait que confirmer par la suite.

Et si, aujourd'hui, les jeunes ont oublié les paroles haineuses et sanguinaires de ce chant révolutionnaire, je ne le regrette absolument pas : elles sont le symbole d'un patriotisme dévoyé et pour tout dire imbécile car il nous a valu quelques millions de morts...

Quant à votre "compatriote dijonnais Balbastre", je ne le connais pas (et ne tiens pas à le connaître), car jouer "Ça ira", cet air immonde, dans une église, c'est purement et simplement une PROFANATION et ça s'appelle prostituer son talent !...

(tout est dans le titre)

qui a composé aussi de la musique sacrée, et qui ne plairait pas aux tradis modernistes de 2020, alors que les vilains Français d'avant 1789 entendaient ses oeuvres dans les églises...

Où cela en Haute-Patate ? Vous reprenez des circonscriptions de 1790...

Je suis né tout près de là, j'ai de la famille et bien des amis, à V'soul, aux environs, à Luxeuil, mes habitudes dans la vallée de Saône et celle du Salon, autour de ruines cisterciennes à Montigny-les-Cherlier, à Molay, à Dampierre...
Soit le diocèse de B'sançon n'est-ce pas ?

Si encore nous avions de braves Français façonnés sauce hussards noirs, cela tiendrait encore la route. Mais là, c'est une pétaudière et une auberge espagnole. Devant le monument aux morts, on ne peut chanter la Madelon... Vous pouvez vivre retirer du monde, c'est confortable. J'ai de chers amis royalistes qui refusent de voter. Outre qu'il est un devoir de voter pour un catholique, c'est très facile de s'extraire, mais de continuer de percevoir la sécu, l'énergie nucléaire et d'avoir un permis avec les étoiles européennes, de se faire payer en euro... Nous avons nos contradictions et le purisme se heurte aux realia.

En 1989, au collège public, je faisais partie du club Révolution avec un prof d'histoire. Comme je lisais bien le Français, on m'a demandé de m'habiller en sans-culotte pour lire un poème à la liberté devant l'inspecteur d'académie lors de la plantation d'un arbre de ladite liberté. J'ai obéi, pas peu fier. A Carnaval, j'étais entouré dans un grand drapeau tricolore de cinq mètres, bonnet phrygien en tête.
Mais quand j'ai demandé au prof pourquoi Louis XVI n'avait pas demandé de tirer sur le peuple, pourquoi ils ont coupé la tête du roi qui était en prison, pourquoi la religion était interdite ensuite après déjà bien des persécutions, pourquoi le fils du roi est mort maltraité, etc. J'ai eu des réponses gênées ou insuffisantes. A 13 ans, et sans bibliothèque à la maison, il n'est guère possible de comprendre quoi que ce soit. Mais j'ai perçu la propagande, certes légitime du pouvoir et du pays, mais je savais aussi que mon pays n'était pas né en 1789, comme on le dit encore, notamment dans les préfectures pour donner un vernis aux étrangers qui deviennent Français.

Je crois aussi qu'il faut lire, lire et lire. Les Girondins n'étaient pas tous marteaux. La noblesse porte un poids considérable dans la Révolution et surtout l'abandon du roi, qui se retrouvait désarmé à tous les sens du terme. Le rôle opportuniste du comte de Provence qui savonnait la planche, surtout au moment de Varennes et après, pas peu content de la disparition de Louis XVII. L'historiographie de la Révolution n'est pas achevée, loin de là. Les manuels de première sont même étrangement honnêtes au sujet de cette période. On continue de caricaturer à outrance l'Ancien Régime absolutiste et la société d'ordres... Les parlements provinciaux et la tolérance échappent aux auteurs de manuels. Dans tous les cas, enseigner à des jeunes qui ne comprennent pas les textes et qui sont des pages blanches, cela ne sert à rien. Il y a quelques exceptions, comme les poissons volants. Les profs aussi sont indigents, et vivent sur leurs a priori, leurs lointains souvenirs. L'Eglise était riche, les curés, gras, le roi, méchant et impuissant...

Si vous ne me dites pas merci après cela, vous n'avez pas de coeur. Et dans le sang de ce dijonnais coule d'abord la musique de Rameau, l'autre dijonnais !

Désolé, vous avez le droit de jouer cela quand l'évêque vient visiter une paroisse, il s'en trouvera réhaussé et se dira : "mais oui c'est vrai, je suis l'évêque ! l'héritier de plus de cent évêques !".
Et la gavotte à la 11e minute peut s'entendre pendant la communion, toute gavotte qu'elle est !
Ne me dites pas que vous mangez les asperges avec les mains, car la baronne de Rotschild nous l'a appris ainsi (le rubricisme liturgique étendu à la table).
Je n'ose demander ici si certains raides acceptent qu'un organiste improvise durant la messe... Je parle dans le VOM, car dans le NOM, l'improvisation est la plupart du temps... consubstantielle. Même quand le prêtre est observant et irréprochable, il est rare que les laïcs qui s'agitent et qui manipulent les chants produisent le meilleur et le plus digne.

Balbastre est en mort pendant la révolution et n'avait pas trop le choix dans les églises qui n'avaient encore pas fichu en l'air leurs orgues ou sali les tuyaux avec la poussière des récoltes entassées en icelles. Soit on joue ce qu'on veut entendre, soit on se prive de jouer. C'est un peu la leçon de morale (sic)... de "La leçon de piano".

On peut donc jouer ce concerto quand c'est l'évêque d'Orléans, j'en conviens.
Pour Sa Grandeur, on jouera "Tout va très bien Mme la marquise" (j'ai décidé d'être charitable ce soir, car j'avais d'autres titres sous les doigts).

Balbastre

Evidemment, d'autres choisiront du grégorien a capella à deux à l'heure, car ce sont de purs esprits. Le genre de prose qui fait regarder la montre avant même que la procession ne soit achevée.

Le Domine salvum fac n'était pas franchement prévu dans la messe par st Pie V, pas plus que le dernier Evangile. Et cependant, les rubricistes les plus amidonnés le tolèrent, dans leur subjectivisme de modernistes (au sens de XVIe-XVIIIe s.) que sont les défenseurs de la messe de St-Pie V.
Alors pourquoi bannir des oeuvres pareilles dans un cadre liturgique, qui n'est d'ailleurs pas seulement celui de la messe ?! Gounod, reviens !

Vive Notre Saint Père le Bach !

"Ils viennent jusque dans vos bras égorger vos fils et vos compagnes"

Autrefois on faisait remarquer que ce chant affirmait que la tyrannie avait un drapeau rouge-sang...

Votre dévoué Paterculus

(L'émoticône sourit, mais pour moi dans ce cas, c'est un peu jaune.)

Cher Paterculus, je me souviens que ce bon abbé Pierre avait demandé qu on change les paroles de notre hymne national...il le trouvait trop violent alors qu il n est que réaliste !

Cher correspondant, que vous ne connaissiez pas Claude Balbastre, et pire encore que vous désiriez ne pas le connaitre...vous approchez du péché contre l'esprit...sauf votre respect...

Il a laissé des oeuvres pour clavecin d'une grand délicatesse, et, toujours jouées et très vivantes, des variations sur les Noëls populaires français du XVIIIe s et avant, dont certains se chantent (devraient se chanter) encore.
Le bénédictin mauriste dom Bedos de Celles a inséré une romance de lui dans son irremplaçable traité de "L'art du facteur d'orgues".

Il a joué la Marche des marseilois, la Carmagnole, le Ca-ira etc... pour sauver son instrument de l'incendie ou de la décrépitude.
Combien d'organistes aujourd'hui, "vi coactus", ne jouent-ils pas ou n'accompagnent-ils pas, mutatis mutandis, les affreuses rangaines des services ordinaires ? Le degré est différent, mais la comparaison est possible.

Mon message est peut etre mal placé, je suis très maladroit avec l'ordinateur.
Je répondais à M. Vistemboir...

Il est bien à sa place.

Bravo et merci.

Il a joué la Marche des marseilois, la Carmagnole, le Ca-ira etc... pour sauver son instrument de l'incendie ou de la décrépitude.

Je maintiens que le fait de jouer ces airs dans une église constitue une véritable profanation, peu importe le motif : il eût mieux valu qu'il jouât Salve Regina ou O filii et filiae...
D'ailleurs, ce musicien est aujourd'hui complètement oublié, ceci expliquant peut-être cela...

D'une part, Balbastre n'est pas complètement oublié. C'est l'un des plus grands auteurs de musique pour clavier du second XVIIIe siècle français avec Duphly. Écoutez une pièce pour clavecin comme La d'Héricourt, c'est une sorte d'abrégé du raffinement à la française sous l'Ancien Régime.

D'autre part, les airs en eux-mêmes ne sont pas une profanation et Balbastre a effectivement sauvé son instrument : comme des prêtres ont sauvé des statues de la Sainte Vierge en les coiffant du bonnet rouge en 1793 (c'est arrivé par exemple à Chartres).

Peregrinus

Pas du tout ! Claude Balbastre n'est pas oublié... On entend chaque année ses variations sur les Noëls...
Tous les organistes jouent généreusement Balbastre !

... qu'à ceux qui sont assez nobles d'âme pour accepter de se salir les mains !



Donc on ne les confie pas à des malfrats ou à des faibles ou veules.

Le Seigneur sait,
qui lit l'intérieur des coeurs
et sonde les reins ...

Pour un régime qui entend s'opposer (au moins en paroles) à ceux qui decapitent et égorgent et se voit renvoyer par les paroles à ses origines.

Qu'un sang impur... Leur République est bâtie sur les ossements des défenseurs de la France Eternelle et des Bretons.

Et puis le Kan bale an ARB comme hymne français ça aurait une autre figure tout de même. https://m.youtube.com/watch?v=k-Yy4tJmbQY

Ah. Chez nous les bus pavoisent. Et on peut faire des commémorations sans qu'un saoudien bête balance une grenade dedans comme à Djeddah au Hedjaz (doublement bête puisque il n'a pas utilisé le modèle adapté, donc que des blessés légers, et parce qu'au milieu d'un aréopage de français et de belges, c'est tombé sur un grec... louée soit la bêtise)

Nouvelle recette du kebab saoudien (l'actuel "grec" est en fait allemand) : salade, tomate, oignon, Grenade... Et diplomate grec. A déguster chaud un jour d'automne, avec des frites belges.

Et oui j'eus été heureux de la défaite de Napoléon en 1812, je le suis toujours d'ailleurs. Vive la Russie, vive Poutine !