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images/icones/marie.gif  ( 900564 )15/09 Notre-Dame des Douleurs par ami de la Miséricorde (2020-09-15 07:12:43) 



Notre-Dame des Douleurs https://www.introibo.fr/15-09-Notre-Dame-des-Douleurs

Litanies à Notre Dame des Douleurs

Litanies du Saint Coeur de Marie


Les « 7 Prières à Notre-Dame des Sept Douleurs » de Saint Alphonse de Liguori :

Première Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « La prophétie de Syméon sur l'Enfant Jésus » (Lc, 2, 34-35) :

« Je compatis, ô Mère affligée, à la douleur que vous causa le premier glaive qui vous a transpercée, quand Siméon, dans le temple, vous représenta les tourments que les hommes devaient faire endurer à votre bien-aimé Jésus (et que vous connaissiez déjà par les divines Écritures), jusqu'à le faire mourir sous vos yeux, suspendu à un bois infâme, épuisé de sang et abandonné de tout le monde, sans pouvoir recevoir de vous ni défense ni secours. Je vous prie donc, ma Reine, par ce souvenir amer qui affligea votre cœur pendant tant d'années, de m'obtenir la grâce de conserver toujours, à la vie à la mort, gravées dans mon cœur, la Passion de Jésus-Christ et vos Douleurs. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.

Seconde Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « La fuite de la Sainte Famille en Égypte » (Mat, 2, 13-21) :

« Je compatis, ô Mère affligée, à la douleur que vous causa le second glaive qui vous a transpercée lorsque vous avez vu votre Fils innocent, à peine né, persécuté à mort par ces mêmes hommes pour lesquels il était venu dans le monde ; de sorte que vous avez été obligée de fuir en Égypte pendant la nuit et secrètement à l'insu du monde. Par tant de peines que vous, Vierge délicate, avez endurées, conjointement avec votre petit enfant exilé, dans ce long et pénible voyage, par des chemins déserts et difficiles, et dans votre séjour en Égypte, où étant inconnus et étrangers, vous avez vécu durant toutes ces années dans la pauvreté et le mépris, je vous prie ma bien-aimée Souveraine, de m'obtenir la grâce de souffrir avec patience dans votre compagnie, jusqu'à la mort, toutes les peines de cette misérable vie, afin que je puisse, dans l'autre, échapper aux peines éternelles de l'enfer que j'ai bien méritées. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.

Troisième Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « La disparition de Jésus pendant trois jours au Temple » (Lc, 2, 41-51) :

« Je compatis, ma Mère affligée, à la douleur que vous causa le troisième glaive qui vous perça le cœur, quand vous avez perdu votre cher Fils Jésus, qui resta trois jours à Jérusalem, éloigné de vous. Ne voyant plus alors votre amour auprès de vous, et ignorant la cause de son éloignement, je pense, mon aimable Reine, que vous n'eûtes aucun repos pendant ces nuits, mais que vous ne fîtes que soupirer après celui qui était tout votre bien : je vous prie donc, par les soupirs que vous avez poussés durant cette trois jours, bien longs et bien douloureux pour vous, de m'obtenir la grâce de ne jamais perdre mon Dieu, afin que je vive toujours uni à lui et que je meure dans ses embrassements. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.

Quatrième Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « La rencontre de Marie et Jésus sur la via crucis » (Lc, 23, 27-31) :

« Je compatis, ma Mère affligée, à la douleur que vous causa le quatrième glaive qui vous perça le cœur, lorsque vous avez vu votre Jésus condamné à mort, chargé de liens et de chaînes, couvert de sang et de plaies, couronné d'un faisceau d'épines, tombant en chemin sous sa pesante Croix, qu'il portait sur ses épaules ensanglantées, allant comme un agneau innocent mourir pour notre amour. Vos yeux se rencontrèrent alors avec les siens, et vos regards mutuels devinrent autant de traits dont vous blessâtes réciproquement vos cœurs amoureux. Je vous prie donc par cette grande Douleur, de m'obtenir la grâce de vivre entièrement résigné à la volonté de mon Dieu, portant ma croix avec joie dans la compagnie de Jésus jusqu'au dernier soupir de ma vie. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.


Cinquième Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « Marie contemplant la souffrance et la mort de Jésus sur la Croix » (Jn, 19, 25-27) :


« Je compatis, ma Mère affligée, à la douleur que vous causa le cinquième glaive qui vous perça le cœur, lorsque, présente sur le mont Calvaire, vous avez vu de vos propres yeux, mourir peu à peu, au milieu de tant de tourments et de mépris, sur le lit douloureux de la Croix, votre bien-aimé Jésus, sans pouvoir même lui donner le moindre des soulagements qu'au moment de la mort on accorde aux plus scélérats. Et je vous prie, par l'agonie que vous, tendre Mère, avez soufferte avec votre Fils agonisant, et par la tendresse que vous avez éprouvée lorsque, pour la dernière fois, il vous parla du haut de la Croix, et que se séparant de vous, il nous donna tous à Vous pour fils dans la personne de Jean ; par la constance avec laquelle vous l'avez vu baisser la tête et expirer, je vous prie de m'obtenir de votre amour crucifié la grâce de vivre et de mourir crucifié à toutes les choses de ce monde, pour ne vivre toute ma vie que pour Dieu, et ainsi aller un jour jouir de lui face-à-face en paradis. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.

Sixième Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « Marie accueille son Fils mort dans ses bras lors de la descente de Croix » (Mat, 27, 57-59) :

« Je compatis, ma Mère affligée, à la douleur que vous causa le sixième glaive qui vous perça le cœur lorsque que vous vîtes percer d'outre en outre le doux Cœur de votre Fils déjà mort, et mort pour ces ingrats qui, même après l'avoir fait mourir, n'était pas encore rassasiés de le tourmenter. Je vous prie donc par cette cruelle douleur que vous avez endurée toute seule, de m'obtenir la grâce d'habiter dans le Cœur de Jésus blessé et ouvert pour moi ; dans ce cœur, dis-je, qui est la belle demeure d'Amour, où reposent toutes les âmes qui aiment Dieu et que là, passant moi-même ma vie, je ne pense qu'à Dieu et n'aime que lui. Très Sainte Vierge, vous pouvez le faire, je l'espère de vous. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.

Septième Douleur de Notre-Dame des sept Douleurs : « Marie abandonne le corps de son Fils lors de la mise au tombeau » (Jn, 19, 40-42) :

« Je compatis, ma Mère affligée, à la douleur que vous causa le septième glaive qui vous perça le cœur, lorsque vous vîtes entre vos bras votre Fils mort, non plus dans l'éclat de sa beauté, comme vous l'aviez autrefois reçu dans l'étable de Bethléem, mais ensanglanté, livide et tout déchiré des blessures qui avaient mis ses os à découvert ; vous écriant alors : mon Fils, mon Fils, en quel état l'amour t'a réduit ! Et lorsqu'on le porta au sépulcre, vous avez voulu encore l’accompagner, et l'y arranger de vos propres mains, jusqu'à ce qu'enfin, lui disant le dernier adieu, vous y laissâtes votre cœur brûlant d'amour enseveli avec votre Fils. Par tant de martyrs qu'a souffert votre belle âme, obtenez-moi, ô Mère du bel amour ! Le pardon des offenses que j'ai commises contre mon Dieu bien-aimé ; je m'en repens de tout mon cœur. Défendez moi dans les tentations ; assistez-moi à l'heure de ma mort, afin que sauvé par les mêmes mérites de Jésus et les vôtres, je parvienne un jour avec votre assistance, après ce malheureux exil, à chanter dans le paradis les louanges de Jésus et les vôtres, pendant toute l'éternité. Ainsi soit-il. » (Saint Alphonse de Liguori)

1 « Pater Noster » + 10 « Ave Maria » + 1 « Gloria Patri »

V/ Priez pour nous, Vierge très affligée !
R/ Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.

Source : site-catholique.fr



Mémoire de St Nicomède, martyr


images/icones/marie.gif  ( 900565 )La Mère du Sauveur et notre vie intérieure par Fr. Garrigou-Lagrange par ami de la Miséricorde (2020-09-15 07:13:57) 
[en réponse à 900564]

DEUXIEME PARTIE
Article II - PRINCIPALES MANIFESTATIONS DE SA MISÉRICORDE

CHAPITRE V
Article I - SA ROYAUTÉ EN GÉNÉRAL

Reine des anges


Les principautés sont à la tête des provinces, Marie prend sous sa protection l'Eglise universelle.

Les « puissances » repoussent les démons; Marie a écrasé la tête du serpent infernal; elle est terrible aux démons par la profondeur de son humilité et l'ardeur de sa charité.
Les « vertus » opèrent des miracles, comme, instru­ments du Très-Haut, mais le plus grand miracle a été celui de concevoir, le Verbe de Dieu incarné pour notre salut.

Les dominations commandent les anges inférieurs; Marie commande à tous les chœurs célestes.

Les trônes sont des esprits dans lesquels Dieu habite d'une manière plus intime; Marie, qui a donné naissance à Notre-Seigneur, est le siège de la Sagesse et la Sainte Trinité habite en elle d'une façon bien plus intime que dans les anges les plus élevés, c'est-à-dire selon le degré de grâce consommée qu'elle a reçu.

Les chérubins brillent par l'éclat de la science; mais la Sainte Vierge a pénétré davantage les mystères divins, elle possède la lumière de gloire et la vision béatifique à un degré bien supérieur au plus parfait des chérubins. De plus, elle a porté en son sein « celui en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la science de Dieu ». Elle s'est entretenue familièrement avec lui, pen­dant plus de trente ans ici-bas, et au ciel elle est plus près de lui que personne.

Les séraphins brûlent des feux du saint amour; mais la vive flamme de la charité est beaucoup plus ardente dans le cœur de Marie. Elle aime Dieu plus que toutes les créatures ensemble, car elle l'aime non seulement comme son Créateur et Père, mais encore comme son enfant, comme son Fils chéri et légitimement adoré.

Elle est donc vraiment Reine des anges; ils la servent avec fidélité, l'entourent de vénération, admirent sa ten­dre sollicitude à garder chacun de nous, à veiller sur les royaumes, sur l'Eglise universelle; les séraphins admi­rent l'ardeur de son amour, son zèle pour la gloire de Dieu et le salut des âmes. Ainsi parle Justin de Miéchow que nous venons de résumer.

Reine des patriarches

D'après tout ce qui précède, on ne saurait évidemment douter de la supériorité de Marie sur Adam innocent, Elle a reçu la grâce à un degré bien plus élevé, et elle eut de même les principaux effets de la justice originelle : la parfaite subordination de la sensibilité aux facultés supérieures, intelligence et volonté, comme la subordination constante de celles-ci à Dieu aimé par-dessus tout.

La charité de Marie, dès le premier instant de sa conception, dépassait de beaucoup celle d'Adam innocent, et elle avait reçu en outre, quoique dans une chair passible et mortelle, le privilège d'éviter tout péché, si léger soit-il.

Son intimité avec Dieu dépassait beaucoup aussi celle qu'ont eue Abel, Noé, Abraham, Isaac, Jacob, Joseph. L'acte le plus héroïque d'Abraham fut celui par lequel il s'apprêta à immoler son fils Isaac, qui était le fils de la promesse.

Avec un mérite beaucoup plus grand, Marie offrit son Fils qui lui était incomparablement plus cher que sa propre vie, et un ange du ciel ne vint pas, comme pour Isaac, empêcher l'immolation sanglante de Jésus sur la croix.

Marie au milieu des patriarches brille donc comme un astre sans égal par son titre de Mère de Dieu, par l'élé­vation de sa charité et l'héroïcité de toutes ses vertus.

Source : Livres-mystiques.com

Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde
images/icones/neutre.gif  ( 900568 )L'autre Stabat Mater... par Montes Gelboe (2020-09-15 09:23:38) 
[en réponse à 900564]

La séquence "de compassione Mariae" est attribuée à Jacopone de Todi, (Jacobus de Benedictus Tudertinus) (1230/36- 1306.)
Universellement connue et mise en musique par plusieurs compositeurs.
On connait très peu une habile composition anonyme du XVe siècle, qui, sur le même mètre - au prix de quelques vers hypermétriques ou hypométriques - et utilisant largement les mêmes mots, décrit les Joies de Marie : La "Stabat de la Nativité"..

1. Stabat mater speciosa / juxta foenum gaudiosa/ dum jacebat parvulus.

2.Cujus animam gaudentem / laetabundam et ferventem / pertransivit jubilus.

3.O quam laeta et beata / fuit illa immaculata / Mater Unigeniti.

4. Quae gaudebat et ridebat / exultabat cum videbat / Nati partum inclyti.

.../...
20. Fac me Nato custodiri : Verbo Dei praemuniri / conservari gratia.

21. Quando corpus morietur / fac ut animae donetur / tui Nati visio.

Le premier et le dernier vers de chaque strophe diffèrent très peu de la strophe correspondante de la séquence "de Compassione Marie".

Il ne semble pas que cette composition ait eu un usage liturgique.

Source : Henry Spitzmuller, "Poésie latine chrétienne du Moyen age, IIIe-XVe siècles", textes recueillis, traduits et annotés. Desclée de Brouwer, Bruges, 1971, 2010 p, pages 964-967 et 1610-1615)
images/icones/fleur.gif  ( 900571 )Très intéressant, merci. par Sic transit (2020-09-15 10:01:38) 
[en réponse à 900568]

Tout est dans le titre.
images/icones/neutre.gif  ( 900575 )Liszt par Yves Daoudal (2020-09-15 11:13:14) 
[en réponse à 900568]

a utilisé les deux Stabat, symétriquement, dans son oratorio Christus. On dit que ce Stabat Mater speciosa (que certains attribuent aussi à Jacopone de Todi), oublié à cause de la dévotion doloriste qui avait submergé l'Eglise latine, fut retrouvé par Ozanam (et alors découvert par Liszt).

images/icones/neutre.gif  ( 900595 )Merci par Montes Gelboe (2020-09-15 15:28:41) 
[en réponse à 900575]

Merci du lien vers cette pièce polyphonique que je ne connaissais pas.
L'épisode Ozanam est possible. Des anthologies de poésie latine médiévale que je possède, seule celle d'Henry Spitzmuller comporte ce texte et sa traduction française, mais n'indique pas sa source...
images/icones/marie.gif  ( 900589 )Notre-Dame des Douleurs, patronne de la Slovaquie par gégé81 (2020-09-15 14:12:55) 
[en réponse à 900564]

Le 22 avril 1927, sous le Pape Pie XI, la Congrégation des Rites, par le décret Celebre apud Slovaccham gentem, a déclaré que Notre-Dame des Douleurs était la Patronne de la Slovaquie. Dans ce pays, le 15 septembre est un jour férié.

Texte du décret :

« Le sanctuaire de Šaštín, sur le territoire de l'administration apostolique de Trnava, en l'honneur de la Bienheureuse Vierge Marie des Douleurs, est célèbre auprès de la nation slovaque. Ce sanctuaire est recherché depuis plus de deux cents ans par les croyants pour les innombrables grâces qu'ils reçoivent ici. Avec quel amour et quelle piété les Slovaques s'accrochent à la Mère de Dieu, qu'ils appellent « Sept Douleurs », cela brille aussi du fait que des églises ont été construites partout à son égard, que le Pape Benoît XIII, en 1727, permit la vénération de la Vierge Marie des Sept Douleurs, enfin que son intercession maternelle fut attribuée au fait que les catholiques de Slovaquie étaient protégés du fléau de l'hétérodoxie et préservés dans la vraie foi.
Pour que même en ces temps difficiles l'unité de foi ne souffre aucun mal, afin de renforcer davantage la foi des pères et de la religion à l'occasion de deux cents ans de joyeuses célébrations de la vénération des Sept Douleurs, les pasteurs suprêmes de Slovaquie ont humblement demandé au Saint Père notre Pape Pie XI de permettre aux Slovaques catholiques d'ajouter une invitation spéciale à l'honneur de Mère des Douleurs aux litanies de Lorette. La Sainte Congrégation des Rites approuve l'intention des archevêques de Slovaquie et la recommande, sur la base de ses pouvoirs donnés par Sa Sainteté. De cette manière, les Pères se sont conformés à leur demande et à leur plaidoyer pour permettre d'ajouter aux litanies de Lorette, après la troisième invocation de « l'Agneau de Dieu », l'invocation : « Priez pour nous, Notre-Dame des Douleurs » ou « Mère des Sept Douleurs », selon des formules approuvées : « Afin que nous soyons dignes des promesses du Christ » et avec une prière correspondante : « Qu'elle intercède pour nous », etc., ou « Dieu, dans le martyre de qui… », etc.
(…)
Donné à Rome, Sacrée Congrégation des Rites, le 22 avril 1927.
+ Card. Vico, évêque de Porto e Santa Rufina, préfet Angelus Mariani, secrétaire de la SCR. S. 43/27. »


Source : ici
(en slovaque faute d’avoir pu trouver l’original en latin - merci à Google translate)



Photo : la Pietà installée en 1564 dans la basilique de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, Šaštín-Stráže, Slovaquie. En 1964, saint Paul VI a élevé cette dernière au rang de basilique mineure.