Le Forum Catholique

à partir de demain Ici

Deux mille ans pour en arriver là... un truc qui est même tout sauf écolo, ce qui semblait le but, ce Dicastère pour le SDHI. Comme chacun sait, les SDHI sont une classe de pesticides massivement utilisés depuis les années 1960 et particulièrement dangereux. Si le Saint-Siège voulait bien utiliser la langue de l'Église plutôt que d'autres qu'il ne maîtrise pas, ce genre de boulette n'arriverait pas...

SDHI le pour et le contre sur Public Sénat
D'un côté, un chercheur de top niveau international sur sa spécialité. De l'autre, le directeur de l'ANSES, pris la main dans le pot de confiture.

Bonjour,

La religion de Jésus-Christ devient ainsi, encore plus que depuis l'apparition des signes avant-coureurs de "l'esprit d'Assise", sous Jean-Paul II, la religion du consensus planétaire.

Planétaire en ce que ce consensus, dans l'esprit de ses partisans, concerne le bien-être de la planète, et planétaire en ce que le même consensus, dans l'esprit de ses promoteurs, a vocation à se déployer à la surface de toute la planète.

A partir de là, une question vient à l'esprit : quel est le point d'équilibre entre l'intégralisme personnaliste montinien et cette espèce de "néo-organicisme" bergoglien ?

N'y-a-t-il pas là un risque de bi-polarisation, ou de mise sous tension programmatique, entre deux visions des choses, qui n'ont ni les mêmes fondements, ni le même contenu ?

Par ailleurs, quelle est la capacité de résistance de ce "néo-organicisme" face à l'écolo-gauchisme, qui porte en lui une conception "particulière" des déplacements de la population humaine entre les territoires et de la limitation de la population humaine ?

Enfin, qu'en est-il de l'importance de la conversion surnaturelle et théologale, sous la conduite et en direction de Jésus-Christ ?

Bonne journée.

Scrutator.

Décidément, le Vatican prend maintenant à son compte tous les tics onusiens de l'idéologiquement correct...

Bonjour vistemboir2,

Quand "l'Eglise de François" est "à l'écoute" de telle conception dominante, présente dans le monde contemporain, au point d'être "à l'école", ou de se mettre "à l'école" de cette conception dominante, voilà ce que cela donne.

Mais il ne faut pas être injuste, la confusion catholique contemporaine,

- entre l'ouverture sur les signes des temps ou la vie du monde,

- et l'alignement sur au moins une partie de la ligne du temps ou des idées dominantes présentes au sein du monde,

a commencé à se concrétiser, au plus haut niveau, dans l'Eglise catholique, dès le début des années 1960.

Disons ici que nous sommes aujourd'hui en présence d'hommes d'Eglise qui ne cherchent même plus à dissimuler leur volonté de conformer leur "agenda", leur ligne de conduite programmatique, au "macro-climat" extra ecclésial, alors que ce macro-climat est anti-chrétien ou post-chrétien.

Bonne journée.

Scrutator.