Le Forum Catholique

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images/icones/marie.gif  ( 890640 )Un virus qui annonce le triomphe de Marie ? par Candidus (2020-03-21 06:59:38) 

Petits rappels en ces temps anxiogènes :

Rosaire (ou chapelet), se traduit en latin par corona, couronne (de roses).

Corona est aussi une synecdoque (on nomme la partie pour le tout, par exemple une voile pour un navire) qui désigne la Vierge Marie décrite dans l'Apocalypse : mulier amicta sole, et luna sub pedibus ejus, et in capite ejus corona stellarum duodecim Apoc. xii, 1.

"une femme qui était revêtue du soleil, et qui avait la lune sous ses pieds (l'Islam ?), et une couronne de douze étoiles sur sa tête."
images/icones/1n.gif  ( 890641 )Euuuuh... par Justin Petipeu (2020-03-21 07:16:33) 
[en réponse à 890640]

Tu pousses le bouchon un peu loin, Maurice...!
images/icones/1f.gif  ( 890643 )oui, "corona",dans la citation, par megnace (2020-03-21 07:55:29) 
[en réponse à 890641]

désigne une couronne sur la tête de la BVM. Il n'y a là aucune synecdoque.
images/icones/neutre.gif  ( 890653 )Drapeau européen par Candidus (2020-03-21 09:29:06) 
[en réponse à 890643]

Mais nous pouvons aussi considérer, comme d'aucuns le font pour le drapeau européen -à commencer par son auteur Paul Michel Gabriel Lévy-, que la couronne est une synecdoque désignant celle qui la porte.
images/icones/neutre.gif  ( 890654 )Non, pas telle que vous citez la phrase par megnace (2020-03-21 09:41:13) 
[en réponse à 890653]

Votre propre traduction exclut la synecdoque ; vous parlez bien d'une femme d'un côté et d'une couronne par ailleurrs.
Ou alors je ne connais plus le français, ni le latin même le plus simple.
images/icones/neutre.gif  ( 890655 )une victoire et une défaite par Réginald (2020-03-21 10:18:04) 
[en réponse à 890640]

La victoire du virus annonce plutôt la défaite de nous société ouverte, liquide, et mondialisée.

On a commencé par nous dire que le virus ignorait les frontières, alors que même que les frontières ralentissent le virus et le contiennent. Comme l'écrit Michel Onfray, "qu'est-ce que le confinement, sinon l'invitation à établir autant de frontières qu'il y a de français ?"

De même, on a vanté les bienfaits de la mondialisation et l'on était heureux d'acheter à moindre coût des produits fabriqués en Chine. Avec le manque cruel de masques, on se rend compte que ces délocalisations menacent non seulement nos emplois, mais aussi notre santé.

Exit donc les nomades et les consommateurs. Une fois la crise passée, il faudra repenser le modèle de nos sociétés. Ce sera aux catholiques alors de rappeler les bienfaits de la subsidiarité.
images/icones/find.gif  ( 890656 )Ah cher Candidus ! par Jean-Paul PARFU (2020-03-21 10:20:14) 
[en réponse à 890640]

Le Sras est aussi virus de type corona. Et la Corona est aussi une bière.

Par ailleurs, s'agissant du drapeau européen, le nombre douze symbolise perfection, plénitude et unité. La paternité ... serait imputée à une suggestion du Belge Paul Michel Gabriel Lévy (juif converti au catholicisme) directeur de l'Information et de la Presse au Conseil de l'Europe ou, selon d'autres sources, à Léon Marchal, secrétaire général depuis le 21 septembre 1953. Le dessin proprement dit de la maquette du drapeau est imputable, très probablement, à Arsène Heitz, agent au service courrier au Conseil de l'Europe et artiste peintre ...

Le 25 octobre 1955, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe choisit à l'unanimité un emblème d'azur portant une couronne de douze étoiles d'or. Le Comité des ministres du Conseil de l'Europe adopte définitivement cette proposition lors de sa réunion du 9 décembre 1955 alors que le texte portant adoption du drapeau est signé le 8 décembre 1955."

Le drapeau est adopté en juin 1985 pour devenir le drapeau de la Communauté européenne (aujourd'hui Union européenne) avec entrée en vigueur le 1er janvier 1986.
images/icones/porrectus.png  ( 890720 )Coronam - Grad. Domine praevenisti par zejack (2020-03-21 14:38:48) 
[en réponse à 890640]

Avez-vous vu le mot "coronam" dans le graduel lors de la messe pour la fête de St Joseph il y a deux jours ?

Mon oeil s'est arrêté sur ce mot, forcément, alors qu'en d'autres circonstances je n'aurais pas tiqué. C'est l'effet que provoque une coïncidence.