Le Forum Catholique

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Allemagne: Mgr. Georg Bätzing, évêque du Limbourg, nouveau président de la Conférence épiscopale allemande:https://www.agensir.it/quotidiano/2020/3/3/germania-mons-georg-batzing-vescovo-del-limburgo-nuovo-presidente-della-conferenza-episcopale-tedesca/
et
ilsismografo.blogspot.com

Il n'est pas évêque du Limburg.

Le Limburg est une province de la région flamande belge (Hasselt) et une province des Pays-Bas (Maastricht).

Limburg an der Lahn, dont Mgr Bätzing est l'évêque, est le siège d'un diocèse allemand situé dans le Haut-Taunus dans le Land de Hesse en Allemagne.

Il a succédé à Limburg, en 2014, à Mgr Tebartz-van Elst en raison du scandale provoqué par les dépenses jugées somptuaires de ce dernier.

avoir rencontré autrefois deux prêtres du diocèse de Ruremonde qui étaient habillés comme Mgr. Bätzing (sur la photo).
Quelle est l' origine de cette façon de s' habiller ?

"À la germano-néerlandaise" !

Rien à voir avec le fait que votre connaissance venait de Roermond dans le Limburg néerlandais, au nord de Maastricht (masse trique) à la frontière avec la Basse-Rhénanie allemande.

Il se trouve, par ailleurs, que je connais très bien cette région. Et vous n'habitez pas très loin, je crois.

Il s'agit en fait de Maas triche, c'est bien connu !
Votre dévoué Paterculus

Est en province de Liege Limbourg

Est dans le titre.

Les évêques allemands et espagnols votent sur la ligne progressiste

Bätzing succède à Marx à la présidence de la Conférence épiscopale allemande. Son nom est en continuité avec son prédécesseur: il est donc probable que le "voyage synodal" se poursuivra rapidement. Dans l'Espagne laïciste dirigée par Psoe-Podemos, les évêques élisent Omella, archevêque de Barcelone et considéré comme l'interprète de "l'Église en sortie".

Hier était un jour d'élection pour les évêques de deux pays importants comme l'Allemagne et l'Espagne. La Conférence épiscopale allemande (Dbk) a salué Reinhard Marx, le président sortant qui - étonnamment - en février avait annoncé son indisponibilité pour un second mandat. Avec lui, Hans Langendörfer, qui n'était pas non plus disposé à se présenter à une nouvelle élection au poste de secrétaire général, a pris son congé. Un poste pour lequel le cardinal Marx, archevêque de Munich et de Freising, a déclaré avoir bien vu une femme.

À Mayence, siège de l'Assemblée plénière, Georg Bätzing a été élu pour succéder à l'actuel coordinateur du Conseil pour l'économie du Vatican et membre du C6. Ce ne sera donc pas le tour du cardinal Rainer Maria Woelki, archevêque de Cologne et prélat parmi les plus critiques de la voie synodale initiée par l'Église allemande.

Le nom de Bätzing est un signe de continuité avec la ligne tracée par Marx : l'évêque du Limbourg est en faveur de l'abolition du célibat sacerdotal ("Je crois que cela ne fait pas de mal à l'Eglise si les prêtres sont libres de choisir s'ils veulent vivre le mariage ou vivre sans mariage"), bien qu'il ait ajouté que c'est une règle qui a une grande valeur pour lui car "c'est ainsi que Jésus a vécu". En ce qui concerne une autre des questions les plus brûlantes du débat interne au sein de l'Église, il a déclaré dans une interview au début de l'année qu'il est nécessaire "de prendre au sérieux le fait que l'exclusion des femmes des fonctions d'ordination est perçue comme fondamentalement injuste et inappropriée dans un environnement social qui a longtemps identifié les femmes et les hommes avec leurs droits".

Avec l'élection de Bätzing, il faut s'attendre à ce que le "chemin synodal" ne connaisse aucun revers : le président nouvellement élu a défendu à plusieurs reprises l'événement contre les critiques et a été président de l'un des forums thématiques les plus discutés sur le chemin, celui intitulé "Vivre des relations réussies - l'amour se vit dans la sexualité et la collaboration".

En Espagne, où l'on s'attend à des temps difficiles pour l'Église en raison du programme laïciste de l'exécutif rouge-violet (voir ici et ici), les évêques ont choisi Juan José Omella pour diriger la Conférence épiscopale au cours des quatre prochaines années. L'archevêque métropolitain de Barcelone, créé cardinal dans le quatrième consistoire du pontificat actuel, est un interprète de la ligne de "l'Église en sortie" chère à François. Avec son élection - et celle de Monseigneur Carlos Osoro Sierra à la vice-présidence - l'ère Rouco Varela pour l'Église espagnole peut être considérée comme définitivement archivée. Malgré la fin de son mandat présidentiel en 2014, l'archevêque émérite de Madrid - très proche de Saint Jean-Paul II et de Benoît XVI - a continué à exercer une influence considérable au sein de l'assemblée plénière. Le cardinal Rouco Varela a été le grand protagoniste de la saison des carrés pro-vie contre les politiques laïques du gouvernement Zapatero.

Omella a un profil très différent de celui de son prédécesseur plus connu : il suffit de penser qu'en 2005, lorsque les évêques espagnols se sont joints à la marche organisée par le Forum de la famille contre la loi qui reconnaissait les unions homosexuelles, l'actuel archevêque de Barcelone a voulu se démarquer, ne se joignant pas à la manifestation et préférant défiler dans une manifestation contre la pauvreté. Le nouveau président partage la même orientation qu' Osoro Sierra, avec lequel Bergoglio a voulu remplacer Rouco Varela à Madrid et qui, dans son pays, est appelé "le petit François".

Nico Spuntoni
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nbq

Mais encore une fois, Mgr Bätzing n'est pas évèque du Limburg (Limbourg), mais du diocèse allemand dont la ville principale est Limburg an der Lahn (Limbourg sur la Lahn) dans le Land de Hesse (capitale Wiesbaden et ville la plus importante Francfort, siège de la BCE).

Il y a deux provinces qui portent le nom de Limbourg. Elles sont voisines l'une de l'autre et situées en Belgique et aux Pays-Bas. Il y a trois villes qui portent ce nom : une ville en Wallonie en Belgique et deux en Allemagne, dont la ville dont Mgr Bätzing est l'évêque.

Les Églises locales seront néo-catholiques et amazonistes les unes après les autres. Ceci est en cours depuis 2013 partout.

Pourquoi s'en étonner ?

La surprise venait de ce que Benoît XVI lui, hélas, n'a pas fait ce que François fait sans le moindre complexe dans les choix curiaux, cardinalices et épiscopaux.

Des prélats et théologiens hyper-bergogliens et proches du Pontife viennent de préciser que Querida amazonia a été mal comprise : c'est un chemin, rien n'est fermé sur rien et qu'il appartient aux Églises locales de faire leurs propositions "imaginatives".

Le Chemin synodal teutonique est donc bien articulé au synode amazoniste et à Q.A. : l'Église néo-catholique allemande donne l'exemple à suivre. Avec Mgr Bätzing à sa tête, le cardinal Marx fera figure de "conservateur" scolastique !!!

Quand on sait qu'en Germanie, la tenue la plus classique est de rigueur même pour les hétérodoxes les plus échevelés, la tenue "française" du prélat nommé en 2016 est hautement révélatrice d'une révolution à visage découvert et oriflamme déployé au vent.

Mais comme dit dom Louis-Marie, tout va bien faisons confiance aux McCarrick, à Mgr Bätzing et à tous les autres de la même école pour nous guider en eaux sûres et avec une orthodoxie parfaite et une rigueur morale absolue.

ps. il y a la légende allemande du joueur de flûte qui vient immédiatement à l'esprit.

Les évêques allemands réélisent le père Langendörfer comme secrétaire général alors qu'il annonçait sa retraite




Bien qu'il ait annoncé qu'il démissionnait pour laisser la place aux "jeunes", le père Hans Langendörfer, sj, a été réélu secrétaire général de la Conférence épiscopale allemande, bien qu'il ait été indiqué qu'il ne mettrait pas fin à son mandat.

03/05/20 9:13 AM

( CNA / InfoCatólica ) Le 26 février, Langendörfer a annoncé qu'il était "arrivé à la conclusion que le moment était venu de proposer ce poste à des mains plus jeunes", et a suggéré qu'un profane pourrait occuper ce poste.

Plusieurs médias en Allemagne ont émis l' hypothèse qu'il y avait de nombreuses voix au CEA, y compris celle de Langendörfer lui-même, qui espérait qu'une femme serait élue pour occuper le poste , qui joue un rôle organisationnel clé dans l'actuelle "assemblée synodale".

Langendörfer, qui occupe ce poste depuis 1996, a indiqué qu'il avait accepté sa réélection temporairement, alimentant la spéculation selon laquelle les évêques n'ont pas accepté de choisir un candidat approprié pour le remplacer.

Dans un bref communiqué de presse de la conférence épiscopale allemande, sa réélection est annoncée tout en indiquant qu'il ne restera pas en fonction pendant toute la période, et qu'il ne se poursuit qu'à titre provisoire.

Le père Langendörfer lui-même a annoncé qu'il s'acquitterait de cette tâche jusqu'à la fin de 2020 au plus tard.infocatolica.com