Le Forum Catholique

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images/icones/4a.gif  ( 871192 )Adresse à Vincent Lambert, innocent qu'on assassine légalement froidement, car handicapé par Ezio Fortin (2019-07-09 17:43:37) 

Même si apparemment un liseur avait déjà posté ce poème (tous mes envois peuvent être relayés à tous vos contacts…), je me permets de le remettre cette fois-ci de moi-même, nombre de ceux à qui je l'avais proposé l'ayant apprécié, dont certains qui se pensaient insensibles à la poésie, ou du moins à la mienne.

C'est ma manière d'accompagner Vincent durant son exécution légale, atroce agonie par privation d'alimentation et d'eau, qui rappelle étrangement celle du père Maximilien Kolb à Auschwitz...

C'est aussi une manière de soutenir les rassemblements organisés ce soir devant le CHU à Reims à 20h, et demain à Paris.

Le texte avait été finalisé le soir de la "remontada" des avocats, en mai, joie éphémère, David n'ayant pas face à lui Goliath, mais carrément le Diable en personne, qui aime que les hommes s'entretuent.

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VIVE VINCENT LAMBERT !


Cher Vincent, malgré toi Martyr mondial, sache
Toi dont, quoi qu’un « doctueur » dise, en ton corps l’Esprit
Git, bien vif, percevant moult de ce qu’on te dit,
Que maints t’aiment, parents, amis, tous sans relâche.

Né quelques jours avant moi, un accident gâche
Ta jeunesse envolée, en ce vingt-neuf maudit
De septembre où tu fonds – las !- sur un arbre, un lit
Depuis étant ton lot, que guette légale « hache ».

Car des vivants, par soif, tel « s’acharne » à t’ôter,
Arguant que tu serais juste apte à « végéter »,
Naïf, comptable ou fourbe , au lieu qu’il te défende.

Las, j’en appelle à Dieu, mort, Homme, en Croix pour nous,
Qui, mystère à nos yeux, te partagea Ses clous,
Que par Lui, doux Sauveur, ta Geôle enfin se fende …

Lundi 20 mai 2019

NOTES :
*V.7 : "las !" = "hélas" ; v.12, "las" = "fatigué".
*Pour l'esprit dont il est fait mention dans la 1ère strophe, nous, catholiques, savons bien que l'homme n'est pas qu'un corps, mais qu'il a une âme et un esprit. Celui-ci est bien là, quand l'âme/la conscience peut sembler bien endommagée, certains patients sortis de cet état atroce expliquant qu'ils entendaient tout, sans rien pouvoir manifester, leur cerveau ne semblant donner quasi aucun signe de vie...Nombre mystères échappent, et échapperont toujours aux hommes de Science, qui ne peuvent tout sonder et doivent se garder de la tentation de l'orgueil, péché de Satan.
images/icones/neutre.gif  ( 871195 )[réponse] par MG (2019-07-09 18:04:12) 
[en réponse à 871192]

J'ai de nouveau essayé de vous lire...

mais c'est impossible ! Le second vers de la première strophe est simplement imprononçable !




Toi dont, quoi qu’un « doctueur » dise, en ton corps l’Esprit



La poésie est fluide à la lecture et à la diction.



Cœur dur comme une tour,

ô cœur de pierre,
Donjon de jour en jour

Vêtu de lierre.

De tous liens lié

A cette terre, cœur humilié,

Cœur solitaire.

Cœur qui as tant crevé

De pleurs secrets,
Buveur inabreuvé,

Cendre et regrets.

Cœur tant de fois baigné

Dans la lumière,
Et tant de fois noyé

Source première.

cœur laissé pour mort

Dans le fossé,
Cœur tu battais encore,

ô trépassé.

cœur inexploré,

Vaste univers,
Idole dédorée,
Jardin d'hiver.

vase de regret

Plein jusqu'aux bords
Du venin d'un remords

Inespéré...

Ô vieil arbre écorcé,

Rongé des vers,
Vieux sanglier forcé,

Ô cœur pervers...

Cœur qui as tant battu,

D'amour, d'espoir, ô cœur trouveras-tu
La paix du soir...

Cœur dévoré d'amour,

Te tairas-tu, Ô cœur de jour en jour

Inentendu...

Cœur plein d'un seul amour,

Désaccordé, cœur de jour en jour

Plus hasardé...

Tu avais tout pourvu, Ô confident, j

Tu avais tout prévu, provident.

Tu avais tout pourvu.

Fors une fièvre,
Tu avais tout prévu

Fors que deux lèvres...

Tu avais tout pourvu,

Fors une flamme,
Tu avais tout prévu,

Fors une autre âme.

Tu avais fait ton compte, ô
Prévoyant, -'
Tu n'avais oublié

Qu'un cœur battant...


Charles Péguy
images/icones/fleur.gif  ( 871213 )Cher MG, vous me semblez le grincheux de la bande... par Ezio Fortin (2019-07-09 22:56:26) 
[en réponse à 871195]

...que je crains d'avoir à jamais perdu, à moins d'une conversion de votre part, ou que je cesse d'être plus que nul !

Si je puis me permettre, le texte qui emporte votre adhésion que vous nous proposez est construit sur l'alternance de vers de 4 et 6 syllabes, soit des vers courts, ce qui permet un rythme beaucoup plus rapide, avec un déséquilibre, là où l'alexandrin est plus pesant/solennel, et régulier...

Par ailleurs, remarque de quelqu'un du métier, ayant lu rapidement ce poème de Péguy, j'ai été surpris que quelques uns des vers, sans raison apparente de prime abord, soit de 3 ou 5 syllabes, ce qui donne l'impression que soit l'auteur lui-même s'est trompé, ce qui peut arriver s'il l'a fait à la va-vite, ou que celui qui a tapé le texte ensuite a fait des erreurs de recopiage, oubliant un mot d'une syllabe par-ci par-là. Cela peut arriver, à partir du moment où le "copiste" ne connait pas bien les règles musicales d'un poème, et est inattentif : j'en ai moi-même été victime, un de mes textes paru dans une revue ayant été ainsi déformé par un relecteur, peu au fait de la langue poétique...

Là où je vous rejoins est qu'il serait dans l'idéal merveilleux que je mette mes textes sur un site internet, que je déclamerai moi-même, que vous voyez qu'ils sont composés dans cette optique, les lisant sans cesse à haute voix, pour m'assurer de leur musicalité.

Merci en tout cas pour le poème de Péguy, qui n'est pas le style que pour ma part j'affectionne, préférant d'autres de ses textes. Mais aurait-il de son vivant échapper à votre bile ?

En tout cas, en poésie, il y a plein de styles et de tonalités différentes, et complémentaires, et il y en a pour tous les goûts.

Au moins réagissez-vous, ce dont je vous remercie infiniment.

Mais je vous fais remarquer que le sujet du texte que j'ai soumis au liseur est bien moins drôle que celui de Péguy, lui intemporel et lyrique, quand le mien est en rapport avec l'actualité, et donc légèrement polémique.

Ne demandez pas à un cheval de labour d'avoir l'élégance d'un trotteur pur-sang arabe, et réciproquement, et admirez plutôt leur complémentarité.

C'est du moins mon humble opinion.
images/icones/fleur.gif  ( 871216 )Auriez-vous l’aimabilité… par Luc de Montalte (2019-07-09 23:53:36) 
[en réponse à 871192]

… de juger pour moi de ce sonnet que j’entrepris. Votre poème mélodieux m’a enchanté ! Merci encore !

Sonnet. C’est un sonnet… L’Espoir… C’est une dame qui de quelque espérance avait flatté ma flamme. L’Espoir… Ce ne sont point de ces grands vers pompeux,mais de petits vers doux, tendres, et langoureux.

L’Espoir… Je ne sais si le style pourra vous en paraître assez net et facile, et si du choix des mots vous vous contenterez.

Au reste, vous saurez que je n’ai demeuré qu’un quart d’heure à le faire.


L’espoir, il est vrai, nous soulage,
Et nous berce un temps, notre ennui ;
Mais, Philis, le triste avantage,
Lorsque rien ne marche après lui !

Vous eûtes de la complaisance ;
Mais vous en deviez moins avoir,
Et ne vous pas mettre en dépense
Pour ne me donner que l’espoir.

S’il faut qu’une attente éternelle
Pousse à bout l’ardeur de mon zèle,
Le trépas sera mon recours.
Vos soins ne m’en peuvent distraire :
Belle Philis, on désespère,
Alors qu’on espère toujours.

images/icones/1v.gif  ( 871298 )Cher Luc, merci de ce passage du Misanthrope de Molière... par Ezio Fortin (2019-07-11 12:53:46) 
[en réponse à 871216]

Les premières secondes, j'ai cru que c'était vraiment de vous, et je me disais que, bien tourné, c'était un peu lourd et bien peu naturel, faisant très XVIIème en plein XXIème.

Mais dans la foulée, ce nom de Philis m'a tout de suite mis la puce à l'oreille, de même que l'affirmation que tout cela avait pris 15 mn...

Molière déjà se moque de ce style antiquisant et ampoulé.

Pour moi, j'essaie, avec une forme classique, d'exprimer des choses actuelles, parfois en employant des néologismes voire des anglicismes, mais pour mieux me moquer des globbishisants.

Bien à vous
images/icones/coeur.gif  ( 871300 )Plusieurs m'ont envoyé des poèmes de leur composition... par Ezio Fortin (2019-07-11 13:04:55) 
[en réponse à 871298]

...sur ma boîte mail ezio.fortin@protonmail.com

C'est pourquoi j'ai d'abord cru que Luc de Montalte était dans cette logique, admirant le fait d'affronter la critique du public ainsi.

Pour ceux qui m'envoient le fruit de leur travail, d'abord un grand bravo, et un grand merci, me touchant cette marque de confiance.

Cela me prend du temps de répondre, mais je vais le faire pour tous, promis, et dans l'ensemble, tous mes encouragements.

Souvent, il y a pas mal de défauts, qui s'expliquent par le fait qu'il y a le désir d'écrire en vers, mais sans bien connaître les règles, qui sont pour rappel un cadre, et non pas un carcan.

J'essaie donc de proposer des pistes d'amélioration à tous, rappelant pour ne pas décourager que c'est en forgeant que l'on devient forgeron.

Moi-même, en reprenant mes premiers poèmes, souris de tous les défauts qu'ils avaient, mais c'est une étape par où il faut passer.

Bien poétiquement vôtre à tous

Ezio F.
images/icones/fleur.gif  ( 871311 )Comment lire et apprécier la poésie ? par Regnum Galliae (2019-07-11 15:17:23) 
[en réponse à 871300]

J'aimerais aimer lire la poésie mais en fait, et malgré moi, cela m'emm... Je suis plus à l'aise avec la prose.

Y a-t-il une technique pour lire et apprécier la poésie ?
images/icones/fleur.gif  ( 871319 )Lire un seul BEAU poème à la fois, dans l'idéal à haute voix... par Ezio Fortin (2019-07-11 16:56:55) 
[en réponse à 871311]

C'est le conseil que je vous donnerai pour commencer.

A vois haute car ce qui distingue un texte en prose d'un en vers est que ce dernier est fait pour être récité à l'oral, et mémorisé, rythmes et rimes étant des moyens mnémotechniques dans toutes les langues du monde.

Parfois, on achète la collection complète de tel ou tel poète, et on se farcit les poèmes à la suite, la satiété arrivant vite.

Ensuite, il faut attaquer je pense plutôt par des textes évoquant des réalités simples, intemporelles.

Enfin, dans l'idéal, il faudrait que ce soit quelqu'un qui s'y connait qui récite le texte, avec un accompagnement musical.

J'ai ainsi assisté à un récital des poèmes de l'abbé Jean-Paul André, et c'était magnifique.

Si vous faites cela tout seul, alors que vous n'avez pas le moral, et que le texte est sombre au possible, dans une langue compliquée, renvoyant à des faits d'actualité du moment qu'on ne comprend plus, vous courrez tous les risques pour que la poésie vous emmerde.

Il faut vraiment pour finir se libérer de l'idée que la poésie, c'est un truc compliqué, à quoi seule une vieille chouette de prof dépressive de français s'intéresse (cette caricature correspond malheureusement bien souvent à la réalité).

Dans toutes les civilisations saines (ce qui n'est plus le cas de la nôtre, où les déséquilibres trônent, avec encensement), les gens naturellement composent des vers, l'Homme étant naturellement musicien, et poète, tout simplement, avec des concours ensuite, l'échange étant stimulant.

Si la poésie est juste cérébrale et individualiste, elle perd son intérêt.

PS : vous pouvez aussi vous efforcer d'être attentif aux systèmes des rimes et des rythmes. En effet, à partir du moment où l'on comprend la prouesse technique dont fait preuve le poète, on ne peut qu'être médusé, et reprendre au sérieux cet Art des arts, aujourd'hui regardé comme un truc de quelques cinglés, qui écrivent de la prose en proclamant que ce sont des vers. Essayez aussi de composer quelques vers, et vous verrez j'espère : l'appétit vient en mangeant...
images/icones/1e.gif  ( 871326 )Mon poème préféré... par Sacerdos simplex (2019-07-11 17:32:50) 
[en réponse à 871319]

En chinois :

« Shī Shì shí shī shǐ »

Shíshì shīshì Shī Shì, shì shī, shì shí shí shī.
Shì shíshí shì shì shì shī.
Shí shí, shì shí shī shì shì.
Shì shí, shì Shī Shì shì shì.
Shì shì shì shí shī, shì shǐ shì, shǐ shì shí shī shìshì.
Shì shí shì shí shī shī, shì shíshì.
Shíshì shī, Shì shǐ shì shì shíshì.
Shíshì shì, Shì shǐ shì shí shì shí shī.
Shí shí, shǐ shí shì shí shī shī, shí shí shí shī shī.
Shì shì shì shì.

Le Poète mangeur de lions dans son repaire de pierre
Le premier vers (le texte entier contient 92 caractères) s'écrit en caractères chinois

« 石室詩士施氏, 嗜獅, 誓食十獅。 »

Traduit littéralement en français, ce premier vers signifie

« Dans un repaire de pierre se trouvait le poète Shi, qui aimait manger des lions, et décida d'en manger dix. ».

Lu en mandarin, le texte est difficilement compréhensible oralement pour quelqu'un qui ne le connaît pas : chaque caractère est prononcé suivant différents tons sur la base « shi ». Le premier vers est ainsi retranscrit en pinyin comme

« Shíshì shīshì Shī Shì, shì shī, shì shí shí shī. ».

Le texte est rédigé en chinois classique, qui est un registre linguistique très condensé et aujourd'hui tombé en désuétude.

****

Sinon, vous avez celui-ci :
un petit chef-d’œuvre du génial Alphonse Allais, qui a réussi le tour de force de composer deux vers dont les 22 dernières lettres sont semblables, mais… qui ne riment pas, déplorait-il, pince-sans-rire !!

Les gens de la maison Dubois, à Bône scient
Dans la bonne saison du bois à bon escient.

Ca, c'est de la poésie !...


images/icones/1e.gif  ( 871350 )Merci Sacredos Simplex, mais il y a aussi d'autres vers holorimes célèbres : par Ezio Fortin (2019-07-11 23:47:36) 
[en réponse à 871326]

« Gal, amant de la reine, alla, tour magnanime,
Galamment de l’arène à la tour Magne à Nîmes »


(de Marc Monnier, souvent attribués à Victor Hugo).

Ou encore

Alphonse Allais de l’âme erre et se f… à l’eau.
Ah ! l’ fond salé de la mer ! Hé ! ce fou ! Hallo !


Car il faut vous dire que, la semaine dernière, ce pauvre Allais, apprenant que sa maîtresse le trompait avec un architecte, a tenté de se noyer. — (Alphonse Allais, Chroniques du bon sens, 1921)
images/icones/neutre.gif  ( 871313 )Si je peux me permettre... par Meneau (2019-07-11 15:25:56) 
[en réponse à 871192]

Je trouve que vous usez un peu trop des appositions, les juxtaposant voire les imbriquant les unes dans les autres. Cela nuit à la fluidité et à la clarté du propos, au point qu'on est obligé de relire plusieurs fois à la recherche de sujet - verbe - complément de la proposition principale pour comprendre la structure et donc le sens de la phrase.

Par exemple la première phrase : "Cher Vincent, sache que maints t'aiment" est noyée dans au moins 7 appositions :
- malgré toi martyr mondial : apposition se rapportant à Vincent
- toi dont... ce qu'on te dit : idem
--- quoi qu’un « doctueur » dise : apposition dans l'apposition
--- bien vif, percevant moult de ce qu’on te dit : 2 appositions dans l'apposition
- parents, amis, tous sans relâche : appositions qui bien que juxtaposées n'ont pas la même fonction syntaxique

Au final, même si d'aventure on a compris la phrase à la cinquième lecture, on se demande comment la rythmer, buttant sans cesse sur les virgules.

Cordialement
Meneau
images/icones/bravo.gif  ( 871318 )Objection bien reçue, cher Meneau par Ezio Fortin (2019-07-11 16:41:35) 
[en réponse à 871313]

Je sais que c'est un point qui peut déranger certains, et que j'essaie d'éviter.

Tout dépend du sujet traité : s'il est léger, tout sera forcément plus fluide.

S'il est plus grave, le texte court le risque d'être plus lourd, ce qui le cas ici, une épée de Damoclès pendant au-dessus de M. Lambert, qui s'est finalement abattue sur le lui, malgré tous les efforts de ses défenseurs, avocats, familles, amis...

J'essaie de tenir la ligne de crête entre le texte en prose de plusieurs pages, que pas grand monde ne lit en extenso, car c'est trop long, et le tweet, si court qu'on ne peut dire grand chose. 168 syllabes font que la tentation peut être d'essayer d'en mettre le plus possible, surtout si la plupart des gens n'ont pas l'information nécessaire.

Un autre problème est que la plupart des gens aujourd'hui, je parle de ceux ayant fait des études, sont perdus quand une phrase fait plus de deux lignes. L'extrême inverse est la phrase à la Proust, qui peut courir sur 30 lignes, ou la période oratoire antique, là aussi très longue. J'essaie d'être dans le juste milieu sur ce point.

Mais je prends note.

En tout cas, rien de mieux que de déclamer son propre texte. J'en veux pour preuve que des amis chanteurs, à qui j'avais soumis un autre poème, m'avaient dit la même chose que vous.

Leur ayant récité le texte, tout d'un coup la difficulté qu'ils avaient eu à la lecture avait disparu, et eux-mêmes s'étaient mis à le déclamer dans la foulée en y mettant encore plus le ton.

Cela me renforce dans l'idée que la poésie, avant d'être lue, doit surtout être entendue, ce que ne permet pas la configuration du FC.

En tout cas, un grand merci pour tous ceux qui font des remarques, surtout les négatives, car, dans l'idéal, je vais les prendre en compte pour essayer de progresser. Mais j'apprécie aussi ceux qui, tout simplement, disent qu'ils ont bien aimé, même s'ils ne précisent pas pourquoi.