Le Forum Catholique

PROGRES DE LYON DU JOUR

C'est une honte de voir des gens aussi bornés et sectaires que ces socialistes.

On peut soutenir ce prêtre en écrivant ici

On comprendra mieux la sur-représentation de ceux qui haïssent la chrétienté.
Nous n'avons pas entendu cependant une voix de l'ump, s'opposant aux pratiques de ce gouvernement.
Qui ne dit mot consent nous enseigne l'adage populaire.

Alors UMP-PS même combat, même idéologie.

Abattre, combattre, ou marginaliser notre culture, le fondement de notre société, la chrétienté, voila ce qui éclate maintenant au grand jour.

Il ne faut jamais, jejomau, utiliser le langage ou le vocabulaire de l'adversaire.

Ce faisant, en effet, le combat est déjà à moitié perdu !

le seul fait que vous compariez leur idéologie lumineuse à celle du "fascisme" qu'ils disent abbhorer les met en rage !

D'ailleurs vous pouvez toujours leur poser la question ICI ou si vous voulez leur dire un mot gentil...

J 'apporte tout mon soutien à ce confrère que je connais bien mais je trouve assourdissant le silence des autorités épiscopales en France...alors que la liberté se restreint et que des centaines de jeunes sont victimes d'arrestations abusives et de traitements scandaleux

[...]
À l'issue de la cérémonie, le prêtre se dirige donc vers le maire et le préfet et leur fait part de son indignation. L'élu s'efface alors devant le représentant du Président de la République, qui menace l'abbé :
- Si vous n'étiez pas curé, je vous aurais mis deux tartes !
La scène se déroule sous les yeux des deux principaux ministres du Gouvernement, le préfet ne peut se laisser insulter par un homme d'église.
Le curé n'en a pas fini. Malgré la violence du propos, il ne perd pas son calme et répond le plus simplement du monde :
- Vous pouvez me les mettre, c'est en citoyen que je vous parle.
Pris de colère, le préfet fait alors chasser l'abbé qui est emmené au poste.

Cette histoire n'est pas la parodie d'une scène de Don Camillo face à Peppone, elle est bien réelle. La situation pourrait prêter à rire si elle n'était pas tragique. Il nous faut aujourd'hui nous questionner sur la santé de la démocratie dans notre pays lorsque quelques individus, certes haut placés mais prétendant incarner la proximité avec le peuple, peuvent mettre en pause tout un village pour ne pas avoir affaire à des opposants pacifiques, et lorsqu'un personnage public est emmené par les forces de l'ordre car il ose remettre en cause cela ces agissements.[...]

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