Aujourd’hui, j’ai ressenti une certaine amertume à la fin de la réunion avec les jeunes. Une dame m’a abordé avec un jeune homme et une jeune fille. On m’a indiqué qu’ils faisaient partie d’un mouvement quelque peu fondamentaliste. Elle m’a dit dans un espagnol parfait : « Votre Sainteté, je viens d’Afrique du Sud. Ce garçon était hindou et il s’est converti au catholicisme. Cette fille était anglicane et s’est convertie au catholicisme ». Mais elle me l’a dit triomphalement, comme si elle avait fait une chasse au trésor. Je me suis senti mal à l’aise et je lui ai dit : « Madame, évangélisation oui, prosélytisme non ».