Un exemple frappant de manipulation et amputation (volontaire, le P. Bugnini en témoigne explicitement) de la Sainte Écriture dans le NOM est l'épître (dans la diction NOMiste: la deuxième lecture) pour la Fête-Dieu.
Dans le Missel romain l'épître est prise de Saint Paul aux Corinthiens (1 Cor. 11, 23-29) (Ego enim accepi a Domino).
Dans le NOM aussi (une des possibilités), mais la lecture s'achève au verset 26 (Quotiescumque enim manducabitis panem hunc et calicem bibetis, mortem Domini annuntiatis, donec veniat.)
Ce qui suit (vv. 27-29) est amputé :
27 Itaque quicumque manducaverit panem hunc, vel biberit calicem Domini indigne, reus erit corporis et sanguinis Domini. 28 Probet autem seipsum homo: et sic de pane illo edat, et de calice bibat. 29 Qui enim manducat et bibit indigne, judicium sibi manducat et bibit, non dijudicans corpus Domini.
La mise en garde solennelle de l'apôtre contre une communion sacrilège n'est plus considérée comme pastoralement tolérable.
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