Si un dossier était constitué sur chaque prof de l’En depuis 50 ans, je crois que vous trouveriez largement matière à accusation dans les témoignages récoltés. Personne n’y échapperait.
« Ah ouiais mais quand même le prof il me regardait bizarrement »… « dans ses cours sur les blasons il parlait trop des seins .. C’était trop chelou ».. « Comment qu’il matait les filles canons quand elles passaient au tableau ! ».. « L’autre le prof de gym il a profité qu’on faisait de la poutre pour me toucher les fesses.. soi-disant qu’il voulait me retenir… ouais c’est ça… »… « Vous trouvez pas bizarre vous que le prof il demande notre mail et notre numéro de tel au début de l’année ? »…

On comprend mieux qu'un(e) infirmier(e) scolaire se tient maintenant à 1m de distance de l'élève pour l'examiner... Malheur au surveillant qui touche sans faire exprès un élève.... Par contre lui (l'élève) peut se permettre les remarques les plus graveleuses vis-à-vis de l'adulte ayant "autorité" (sic), des comportements "répréhensibles" sans risquer la moindre sanction.

Anne Parillaud a écrit un livre il y peu : Les abusés. Elle pense avoir été abusé par son père pendant son enfance (c'est la mode)
"S'il ne s'était rien passé, je ne pourrais pas en parler de cette façon", affirme-t-elle. OK....

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