qui énonce : "Surnommé parfois « le Picasso des églises », pour ses talents de peintre, Louis Ribes a exercé dans les trois diocèses de Lyon, Saint-Etienne et Vienne. Ses agressions sexuelles, révélées en janvier par Marianne, avaient été confirmées par ces trois institutions."

Trois diocèses qui ont confirmé, cela semble suffisant en soi pour accréditer l'accusation envers un mort, chose qui n'a rien de rare cher Roger en histoire quand on trouve des documents probants.
J'ai trouvé deux cas lors de recherches sans aucun rapport avec la délinquance sexuelle du clergé : un remontant à la Grande Guerre et un autre de 1960-1963. Les accusations des supérieurs étaient très claires dans les documents et le cas le plus grave, le plus ancien, avait fait l'objet de deux réunions de l'instance de direction de la congrégation à laquelle le mort (depuis longtemps) appartenait ; il avait été après récidive expulsé de ladite congrégation.

Les photos présentés relèvent peut-être d'une lecture artistique, je ne sais, mais paraissent aussi claires que le contenu du "laptop from hell" (portable de l'enfer) de Hunter Biden que les medias usuels s'efforcent avec un certain succès de cacher au plus grand nombre depuis deux ans. Le fils du président américain étant lui bien vivant.

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