Et nous tous ici, qui jugeons telle décision d'un évêque ou d'un curé, que faisons-nous sinon juger ce que tel ou tel pense faire en conscience ? Jamais nous ne jugeons des personnes avant le jugement de l'Eglise ou de la Justice des hommes ? (la justice de l'Eglise est d'ailleurs une variante très disqualifiée en France et ailleurs de la justice des hommes...)
Ici jamais personne n'a pointé des paroles ou des décisions d'archevêques de Poitiers, d'évêques d'Evreux, d'archevêques de Paris...
C'est même le lot commun de la vie, que de juger.
Je vois que vous adoptez la ligne du pape actuel : qui suis-je pour juger ?
Un évêque qui interdit de donner la communion sur la langue ou un prêtre qui refuse de le faire, ne doivent pas être jugés, car on peut espérer qu'ils font cela en leur âme et conscience.
Quand la messe est bordélisée, a-t-on le droit de juger le prêtre et les laïcs qui le permettent ? J'espère bien que oui.
La conscience d'un évêque n'est pas plus sacrée que celle d'un clochard par ailleurs.
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