...la période de la "Libération" : tandis que des quantités de bons chrétiens ont été accusés de collaboration (et/ou fusillés/emprisonnés) ou simplement balayés de la scène médiatique,
des quantités d'autres avaient fréquenté les maquis ou les résistants, très solidement encadrés par les communistes : d'où un indifférentisme forcené : "celui qui croyait au Ciel et celui qui n'y croyait pas"
-> peu importe importe la Foi, l'important est de faire le bien à son prochain.
On retrouve cette idée dans un texte du concile qui engage les catholiques à s'associer avec les chrétiens non-catholiques pour faire de l'humanitaire. Du coup, là où une association fonctionnait avec 100 catholiques et faisait du religieux et du caritatif, on s'est pâmé parce qu'il y avait un protestant et un orthodoxe en plus - mais du coup, il ne fallait plus parler de sujets doctrinaux. Dès lors, impossible de parler de religion aux personnes assistées : on fait alors de l'humanitaire.
Le Docteur Dickès dans La Blessure, explique aussi l'influence terrible des vocations tardives du séminaire de Morsang, qui ont complètement pollué les séminaires français, avec la mise en place d'équipes, savante organisation pour contrôler les consciences de chacun, dans un climat franchement communiste.
En Italie, on a eu le même phénomène qu'à la Libération, sauf qu'il avaient eu au préalable les longues années terribles du fascisme, où le gouvernement a interdit toutes les associations de jeunes autres que les leurs. Puis ce furent les communistes qui étaient à deux doigts de prendre le pouvoir, mais qui ont marqué profondément les mentalités.
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