Oui, dans un sens, nous avons déjà un goût de l'épreuve qui nous attend, celle qui marquera la fin des temps, celle qui verra les derniers moments de l'Eglise dans son état militant.
Pour autant, nous ne savons ni l'heure, ni le jour. Et... c'est tant mieux. Car cela nous évite les supputations et des comportements bien peu chrétiens. Par définition,Il a dit qu'il viendrait "comme un voleur". Donc rien ne dit qu'il viendra dans ces temps troublés. Le mystère restera entier.
Nous avons des analogies avec la fin des temps, la grande épreuve: l'apostasie d'une partie des clercs et de la hiérarchie peut nous donner un avant-goût. Mais d'autres signes, qui marqueront la fin des temps, manquent cruellement à cette crise de l'Eglise.
Enfin, il y a peut-être la grande apostasie. Il y avait déjà des signes sous Benoît XVI, sous Jean-Paul II, voire sous Pie XII. Quant à Saint-Pie X, il disait déjà que les modernistes étaient très proches du Siège romain...
Dans un sens, chaque génération de chrétiens a cru que la fin était proche.
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