bizarre était choquante par endroits, prenant à rebours la doctrine catholique la plus établie et solidement établie.

On pourrait comparer l'accueil de cette "interview" à la parole non vérifiée, par la faute du Saint-Siège d'ailleurs le journaliste ayant offert de soumettre le texte et un secrétaire du pape ayant "béni" son contenu pour le moins biscornu, et le tonnerre et les fureurs qui avaient suivi le discours de Ratisbonne et autant en 2009, les propos informels de Benoît XVI dans l'avion pour l'Afrique.

On voit bien comment les media - libéraux presque tous - ont applaudi à la première et vilipendé les deux autres.

Les deux papes vivants ont fait l'expérience que la parole papale est d'une nature différente de celle d'une aimable conversation ou même d'une leçon dans une Faculté.

C'est bien que le Saint-Père prenne conscience de cela maintenant : d'autant qu'un flot de paroles délirantes va bientôt se déverser dans les media libéraux en vue du Synode de 2014.

Les théologiens néo-libéraux et néo-modernistes s'organisent déjà en groupes de pression. Certains épiscopats (ex. le Belge) font de même.
L'interview bizarre à La Republicca n'était qu'un mini-bretzel apéritif ...

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