je cite Sandro Magister <chiesa....>Voir un prêtre qui galvanise les foules en chantant et en dansant, même s’il le fait avec dignité, c’est un spectacle qui est encore jugé indigeste par beaucoup de gens.
Et les libertés liturgiques que prend le père Marcelo – pas uniquement en ce qui concerne le choix des musiques utilisées pour les célébrations – vont bien au-delà du "canon romain". De l’autre côté, ceux qui rêvaient d’un renouveau ecclésial à partir des communautés de base et de l’"option préférentielle pour les pauvres" n’arrivent pas à comprendre comment une multitude de gens appartenant à toutes les classes sociales – parmi lesquels des indigents et des représentants du sous-prolétariat urbain – peut accourir à l’appel d’un prêtre qui parle "seulement" de questions spirituelles, de l’amour de Dieu, du pardon des péchés, de la joie que donne le christianisme dans les difficultés et les injustices de la vie.
Et ce n’est pas tout. Le père Marcelo est également un prêtre qui rappelle combien il est important de suivre fidèlement le magistère, de connaître et de défendre la doctrine catholique. Et qui, comme il l’a déclaré récemment, se sent plus à l’aise avec les fils spirituels d’Escrivà de Balaguer qu’avec les gens qui sont encore attachés aux utopies des frères Boff.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !