Les départs de prêtres dans l'autre sens, suite à des chutes morales, sont malheureusement bien plus nombreux que celui de Don Massimo, qui n'a encore donné aucune indication sur ce qui l'a poussé à partir (après plus de dix ans 'normaux' de ministère diocésain). Comme curé, il pouvait à loisir célébrer l'ancienne liturgie, et son choix pour la FSSPX souligne que sa motivation exacte dépasse infiniment la liturgie.
On peut penser qu'il s'agit d'une urgence pédagogique dans les séminaires diocésains et le formation permanente des prêtres en Italie, ressentie comme insoluble par Don Massimo.