et il faut bien reconnaître que les cantons suisses, chacun à sa façon, vivent sous des régimes de droit public assimilables à un concordat, comme c'est le cas pour les accord Briand-Gasparri en France. Ces régimes peuvent être très défavorables à la liberté pratique de l'Église, comme c'est le cas des "chaînes d'or" de l'impôt d'église payé par les zurichois, puisque l'essentiel des revenus du diocèse dans le canton se trouvent sous la coupe de "mal-veillants" (comme cela menaçait de l'être pour les "cultuelles" françaises de 1905:
Mais ces détestables cléricaux alémaniques n'ont jamais encore été mis en cause canoniquement pour leurs doctrines ou leurs pratiques. Donc vos observations ne s'appliquent pas: le conseil d'administration catholique de Zurich - et même la réunion de l'ensemble des conseillers-administrateurs des six ou sept cantons du diocèse - ne doivent pas être confondus avec le conseil épiscopal proprement dit du diocèse... |