Comme Rome l'a déclaré, il est tout-à-fait possible pour ces gens d'accomplir leur devoir dominical à la FSSPX, surtout d'ailleurs, s'ils ne partagent pas les positions de ladite Fraternité. Ils ont en supplément la satisfaction d'avoir affaire à un évêque particulièrement borné.
Audacis a raison quand il dénonce le petit passage fielleux sur la Fraternité ; on n'hésite pas à tirer sur ses amis pour se faire bien voir...Et surtout, on ne met pas les pieds à la FSSPX, sinon, on va se faire traiter d'intégriste, ce qui est en religion aussi ignoble que le militant FN qui se fait traiter de "raciste". C'est la même logique libérale, le même procédé communiste qui sert d'abord à disqualifier l'interlocuteur. Ce qui est triste, c'est de tomber dans le panneau et de s'appuyer sur ce mensonge pour faire valoir ses "droits".

La paix liturgique 92 a échoué : l'évêque se moque d'eux. Il le dit et le fait dire. Que vont donc faire ces fidèles ? Au fur et à mesure des jours, on sent que le ton s'aigrit...Voyez ce dernier communiqué : c'est une critique en règle de l'évêque, un cassage systématique de ses propos. Et pourtant, on réclame après une messe pour être "en communion" avec lui.
Tout celà n'a aucun sens ! Les catholiques marchent sur la tête. Cette affaire aura au moins eu le mérite de montrer l'absurdité de la situation des Ecclesia Dei, obligés de ferrailler avec leur évêque, puis de le démolir comme le mauvais pasteur qu'il est, pour réclamer ensuite à grands cris la "communion" avec celui-ci...

Comme l'avait dit Mgr Lefebvre aux prêtres ralliés, juste après les sacres : "un jour, vous serez obligés de choisir".
Je rajoute que comme le montre les dernières nouvelles de Rome, le développement du rit de 62 dans l'Eglise n'est pas au programme des autorités, contrairement à ce qui avait été laissé entendre.