J'avais envoyé un courriel au sujet de la messe de mariage interdite par l'éveque de Perpignan. Voici le communiqué qui m'est parvenu que je vous livre "tout cru".

Un débat vient de s'instaurer de manière fort surprenante autour d'une situation concernant une famille ne résidant pas dans le diocèse.
Il est regrettable que cette famille n'ait pas contacté directement l'éveque. Car toute autorisation de célébrer dans le rite de Saint Pie V relève de sa seule autorité. Il eut été courtois que les fiancés le contactent directement et exposent leurs raisons. Il en a été autrement. Il est regrettable aujourd'hui qu'une surenchère ait lieu et que la vérité soit déformée au bénéfice d'un mauvais procès d'intention.
Notre diocèse depuis 1991 propose aux fidèles qui le souhaitent la célébration, tous les jours, de la messe selon le rite de St Pie V, et des sacrements selon le meme rite.
Selon l'indult "Ecclesia Dei adflicta", l'église Saint-Jacques de Perpignan est le lieu habituel de ces célébrations liturgiques et de la vie de la communauté rassemblée autour de ce rite : la catéchèse est assurée et des activités propres s'y déploient. L'animation de cette communauté est assurée par deux pretres de la Fraternité St Pierre.
Leurs relations avec l'éveque peuvent etre qualifiées de bonnes et de confiantes. L'an dernier, le 26 juin 2004, l'éveque du diocèse a donné lui-meme en l'église Saint-Jacques le sacrement de la confirmation à des enfants et adultes selon le rite de St Pie V.
Ainsi lorsqu'on est au courant de la pratique ecclésiale sur ces questions gérées par le décret "Ecclesia Dei Adflicta", il est clair qu'il est dommage que des courts-circuits viennent brouiller le dialogue en évoquant des contrevérités.
De plus, la "toile" est-elle le lieu le plus approprié pour vivre un pseudo-dialogue par anonymat interposé ?