Le Forum Catholique

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images/icones/fleche3.gif  ( 834241 )François:sa psy,ses fiancées,l'influence communiste sur sa pensée par Jean Kinzler (2017-09-01 19:17:55) 

Femmes, communisme, psychanalyse... Le pape François se confie sur son intimité

De ses "petites fiancées" à ses consultations chez une psychanalyste, le pape François se confie pour la première fois dans un livre sur sa vie intime.

Il "remercie Dieu d'avoir connu de vraies femmes" dans sa vie, affirme que "les communistes, ce sont les chrétiens", et ces mots proviennent bien du pape François. Pour la première fois, le souverain pontife se confie sur sa vie intime dans un grand entretien à paraître vendredi par extraits dans le Parisien Magazine, puis le 6 septembre dans le livre "Politique et société" (Editions de l'Observatoire). Cet ouvrage, qui est le fruit d'un an d'entretiens avec le chercheur français Dominique Wolton, pourrait bien devenir l'un des incontournables de cette rentrée littéraire.

Le successeur de Benoît XVI au Vatican lui a accordé douze entretiens durant lesquels il a abordé des sujets sensibles en toute liberté. Il revient sur l'ouverture aux migrants, la laïcité, les prêtres pédophiles, le mariage homosexuel, les rapports avec l'islam ou la communion des divorcés. Et aussi les femmes de sa vie.
Ses "petites fiancées" du passé

Les femmes sont ainsi des personnes qui ont beaucoup compté dans sa vie. "Personnellement, je remercie Dieu d'avoir connu de vraies femmes dans ma vie", déclare-t-il dans les premiers extraits à paraître dans le magazine. Il évoque ses relations avec ses deux grands-mères, ses soeurs et sa mère, qui "affrontait les problèmes les uns après les autres."

Puis il y a eu les autres, les femmes qui ont touché son coeur d'homme. "Il y a eu les amies de l'adolescence, les "petites fiancées"... D'être toujours en rapport avec les femmes m'a enrichi", se livre le pape qui dit avoir "appris, même à l'âge adulte, que les femmes voient les choses d'une manière différente des hommes" et qu'"il est important d'écouter les deux".

Le religieux s'est toujours placé en faveur d'une ouverture de l'Eglise dès son élection, en créant une commission sur les femmes diacres, ou en montrant son amour et l'importance de la gent féminine dans la foi.

Les chrétiens, ces vrais communistes?

Le Saint-Père a aussi été très influencé par une autre femme, une communiste cette fois. Esther Ballestrino de Careaga est une militante communiste tuée sous la dictature argentine (1976-1983), après avoir aidé à fonder le mouvement des mères de la Place de mai, qui dénonçaient la disparition de leurs enfants assassinés par le régime.

"(Elle) m'a appris à penser la réalité politique (...) Je dois tant à cette femme", poursuit le pape. L'impact du combat de cette femme le touchera jusque dans sa foi: "On m'a dit une fois: "Mais vous êtes communiste!" Non, les communistes, ce sont les chrétiens. C'est les autres qui ont volé notre bannière!"

Son ouverture d'esprit lui fera même "consulter une psychanalyste juive" alors qu'il avait 42 ans, "à un moment de (sa) vie où (il) en a eu besoin". Il s'est rendu chez elle une fois par semaine pendant six mois "pour éclaircir certaines choses". "Une très bonne personne" qui "m'a beaucoup aidé", dit-il. Ce n'est que le début: le livre fait 432 pages.
"Politique et société" du pape François (Rencontres avec Dominique Wolton), Éditions de l'Observatoire, 432 pages, 21 euros, en librairie le 6 septembre.
lexpress

Autres articles sur le sujet, dont certains assez critiques:ICI
images/icones/neutre.gif  ( 834242 )Psychanalyse par Mingdi (2017-09-01 19:32:07) 
[en réponse à 834241]

A 42 ans, soit en 1979, sa dernière année de provincial des jésuites d'Argentine. Il faut dire qu'il en avait vu de très dures pendant ses six années de provincial. Il aurait sans doute mieux fait de s'inscrire à une session d'Exercices de Saint Ignace plutôt que de se confier pendant six mois à une psychanalyste juive. Mais les cordonniers sont les plus mal chaussés.
images/icones/info2.gif  ( 834243 )Le Pape fustige "l'idéologie traditionaliste" par Jean Kinzler (2017-09-01 19:53:02) 
[en réponse à 834242]

Voici le dossier du Figaro Magazine sur ce livre.
Vous pouvez en lire de larges extraits dont celui dans lequel le Pape fustige "l'idéologie traditionaliste"
ICI en pdf.
images/icones/neutre.gif  ( 834246 )Obsession par Mingdi (2017-09-01 21:48:38) 
[en réponse à 834243]

Je ne sais pas ce que lui a inculqué ou extirpé sa psychanalyste juive, mais cette obsession des rigidités traditionnelles, des doigts placés comme ci ou comme ça, est symptomatique de la nostalgie d'un paradis perdu, un déni de la spiritualité ignacienne. Comme Guénois je pense que l'impasse sur le passé (seulement le passé?) péroniste est une sorte de refoulement de choses qui l'ont trop longtemps occupé. Poursuivez votre thérapie, Très Saint Père. Accordez aux prétendus psycho-rigides, vos frères, une entière autonomie dans la Vérité, celle qui nous rend libres.
images/icones/1n.gif  ( 834250 )Comment ne pas être rassuré par ce saint Pape! par Miserere (2017-09-01 22:36:41) 
[en réponse à 834243]

Alors qu'il nous ouvre les bras, pourquoi avoir douté sur une reconnaissance?

Mais il nous aiment tellement!
images/icones/neutre.gif  ( 834244 )Les "meilleurs" extraits par Candidus (2017-09-01 21:25:59) 
[en réponse à 834241]

L’idéologie traditionaliste a une foi comme ça (il fait le geste des oeillères) : la bénédiction doit se donner comme ça, les doigts pendant la messe doivent être comme ça, avec les gants, comme c’était le cas avant… Ce qu’a fait Vatican II de la liturgie a été vraiment une très grande chose. Parce que cela a ouvert le culte de Dieu au peuple. Maintenant, le peuple participe.

[…]

On m’a tout de suite demandé : “Mais peut-on donner la communion aux divorcés ?” Je réponds : “Parlez donc avec le divorcé, parlez avec la divorcée, accueillez, accompagnez, intégrez, discernez !” Hélas, nous, les prêtres, nous sommes habitués aux normes figées. Aux normes fixes. Et c’est difficile pour nous, cet “accompagner sur le chemin, intégrer, discerner, dire du bien”. Mais ma proposition, c’est bien ça. [...] Ce qu’il se passe, en réalité, c’est qu’on entend les gens dire : “Ils ne peuvent pas faire leur communion”, “ils ne peuvent pas faire ceci, cela” : la tentation de l’Eglise, elle est là. Mais non, non et non ! Ce type d’interdictions, c’est ce qu’on retrouve dans le drame de Jésus avec les pharisiens. Le même ! Les grands de l’Eglise sont ceux qui ont une vision qui va au-delà, ceux qui comprennent : les missionnaires.

[…]

Quand j’étais maître des novices, en 1972, on accompagnait pendant un ou deux ans le candidats qui voulaient entrer dans la Compagnie. (…) Je me souviens de l’un d’eux, dont on voyait qu’il était un peu rigide, mais qui avait de grandes qualités intellectuelles, et que je trouvais de très bon niveau. Il y en avait d’autres, beaucoup moins brillants, dont je me demandais s’ils passeraient. Je pensais qu’ils seraient refusés, parce qu’ils avaient des difficultés, mais finalement ils ont été admis parce qu’ils avaient cette capacité de grandir, de réussir. Et quand le test du premier étudiant est arrivé, ils ont dit non tout de suite.
“Mais pourquoi ? Il est si intelligent, il est plein de qualités.
- Il a un problème, m’a-t-on expliqué, il est un peu guindé, un peu artificiel sur certaines choses, un peu rigide.
- Et pourquoi il est comme cela ?
- Parce qu’il n’est pas sûr de lui.”

On sent que ces hommes pressentent inconsciemment qu’ils sont “malades psychologiquement”. Ils ne le savent pas, ils le sentent. Et ils vont donc chercher des structures fortes qui les défendent dans la vie. Ils deviennent policiers, ils s’engagent dans l’armée ou l’Eglise. Des institutions fortes, pour se défendre. Ils font bien leur travail, mais une fois qu’ils se sentent en sûreté, inconsciemment, la maladie se manifeste. Et là surviennent les problèmes. [...] Moi, j’ai peur de la rigidité.

[...]

Dominique Wolton : Avez-vous rencontré des femmes, après l’enfance et l’adolescence, qui vous ont marqué ?
Pape François : Oui. Il y en a une qui m’a appris à penser la réalité politique. Elle était communiste.
Dominique Wolton : Elle est encore vivante ?
Pape François : Non… Pendant la dictature, elle a été “pfftt…” tuée. Elle a été capturée dans le même groupe que deux soeurs françaises, elles étaient ensemble. C’était une chimiste, chef du département où je travaillais, dans le laboratoire de bromatologie. C’était une communiste du Paraguay, du parti qui là-bas s’appelle Febrerista. je me rappelle qu’elle m’avait fait lire la condamnation à mort des Rosenberg ! Elle m’a fait découvrir ce qu’il y avait derrière cette condamnation. Elle m’a donné des livres, tous communistes, mais elle m’a enseigné à penser la politique. Je dois tant à cette femme. [...] On m’a dit une fois : “Mais vous êtes communiste ! “ Non. Les communistes, ce sont les chrétiens. C’est les autres qui nous ont volé notre bannière !
images/icones/1n.gif  ( 834245 )C'est un grand malade.... par Justin Petipeu (2017-09-01 21:45:42) 
[en réponse à 834244]

Est-ce qu'il a été à Lourdes ?
images/icones/bravo.gif  ( 834247 )Sa Sainteté a avoué ! Les chrétiens sont les vrais communistes. par Marquandier (2017-09-01 22:12:03) 
[en réponse à 834245]


On m’a dit une fois : “Mais vous êtes communiste ! “ Non. Les communistes, ce sont les chrétiens. C’est les autres qui nous ont volé notre bannière !



Voilà qui est plutôt cohérent avec sa ligne politique. On ne peut être plus clair. Les chrétiens sont les vrais communistes, et le souverain pontife tient à la propriété privée de sa bannière.
images/icones/neutre.gif  ( 834265 )Rien à voir avec la politique... par Paxtecum (2017-09-02 11:07:33) 
[en réponse à 834247]

L'essence même du Chrétien est de vouloir le Bien des Hommes, ce qu'a prétendu aussi le communisme... mais sans Dieu.
Nous réagissons trop avec nos ressentis, un peu de distance fait du bien.
images/icones/1f.gif  ( 834274 )Je suis sceptique par Marquandier (2017-09-02 13:20:51) 
[en réponse à 834265]


L'essence même du Chrétien est de vouloir le Bien des Hommes, ce qu'a prétendu aussi le communisme... mais sans Dieu.



Toutes les idéologies ont prétendu vouloir le bien des hommes, à ce compte là les vrais libéraux sont les chrétiens, les vrais monarchistes, les vrais individualistes, les vrais collectivistes sont les chrétiens etc.

Tout cela me fait penser un peu au sophisme du vrai Écossais.
images/icones/neutre.gif  ( 834337 )Eh j'ai des doutes... par Mboo (2017-09-04 18:14:12) 
[en réponse à 834265]

Pour moi l'essence du christianisme c'est vouloir glorifier le Christ qui est un bien différent, du "bien" que propose le communiste.
Ainsi, en restant même dans une dimension purement horizontale je ne suis pas certain que "tendre l'autre joue", "porter sa croix", déclarer "heureux les pauvres, les affligés, les persécutés etc", "rechercher la dernière place" soient de valeurs partagées par le communisme, et qui sont des valeurs qui rentrent dans la perfection chrétienne
images/icones/fleur.gif  ( 834320 )La religion est l'opium du peuple par Regnum Galliae (2017-09-04 09:34:50) 
[en réponse à 834247]

Plusieurs passages abondent dans ce sens : la rigidité des rites traditionnels, le besoin des gens d'avoir des structures fortes...

Je préfère penser que le Pape méconnait plus le communisme que le catholicisme.
images/icones/1q.gif  ( 834255 )Je ne suis pas sédévancantiste, mais... par vistemboir2 (2017-09-01 23:56:37) 
[en réponse à 834241]

... avouons que si François voulait qu'on le devienne, il ne s'y prendrait pas autrement !

Si j'ai bien lu, ses conceptions écclésiologiques sont celles d'une Eglise "molle", sans direction précise et aux contours indéterminés, une sorte de bateau ivre balloté au gré des vents des idéologies dominantes et de la modernité, car il la définit comme :
- une Eglise sans hiérarchie, limitée à ses fidèles ("le Peuple"), une sorte de secte évangélique (d'où d'ailleurs les saints et les martyrs sont étrangement ignorés),
- une Eglise où l'anarchie et le spontanéisme liturgiques sont préférables à la "rigidité" (selon lui) du rituel,
- une Eglise dans laquelle la casuistique (du Jésuite qu'il est...) doit permettre de s'affranchir des "normes rigides", voire des interdictions, au nom de la "pastorale"...
- une Eglise sans passé, où il est permis et même conseillé de caricaturer les fidèles attachés à sa doctrine traditionnelle, qualifiée d'"idéologie", ce qui en dit long sur sa charité... sélective.

Et quand on lui dit : "Mais vous êtes communiste !", il répond : "Non, les communistes, ce sont les chrétiens". Cet aphorisme provocateur lui explose à la figure, parce qu'involontairement, il lui fait dire qu'il n'est pas... chrétien ! (Sinon, il aurait dit : "ce sont NOUS les chrétiens", acte manqué, omission révélatrice, comme aurait pu dire sa psy juive !)

Je crains, hélas, que s'il continue sur cette lancée, ce pape s'avère le plus calamiteux de l'histoire de l'Eglise, condtionné qu'il a été par ses fréquentations de jeunesse...
images/icones/fleche2.gif  ( 834269 )François est-il ou non avant tout un nostalgique des années 1970 ? par Scrutator Sapientiæ (2017-09-02 12:20:24) 
[en réponse à 834241]

Bonjour à Jean Kinzler et aux autres liseurs.

Voici la question que je me pose depuis l'automne 2013, et je remercie par avance tout liseur pour toute réponse un tant soit peu "sourcée".

Peut-être la réponse se trouve-t-elle dans une biographie "non autorisée" ou "non officielle".

Le Pape François est-il ou non, avant tout, un nostalgique des années 1970, c'est-à-dire un nostalgique d'une "conception globale" à la fois post-conciliaire et post-soixante-huitarde, qui est ou se croit d'autant plus philo-conciliaire qu'elle est ou se veut philo-soixante-huitarde ?

Ne sommes-nous pas en présence d'une "parodie" ou d'un "pastiche" ?

Merci beaucoup pour toute réponse et bonne journée.

Scrutator.
images/icones/fleche2.gif  ( 834278 )Ras le bol de ces distinctions orientées et partisanes entre "ouvert" et "fermé". par Scrutator Sapientiæ (2017-09-02 14:25:01) 
[en réponse à 834241]

Rebonjour,

1. Je précise d'emblée que je pense ici aux distinctions orientées et partisanes, médiatiquement et mondialistement correctes, qui sont souvent utilisées, dans les journaux, à la radio, à la télévision, et non bien sûr à d'inimaginables distinctions proches de celles-là, ou telles que celles-là, qui émaneraient du Pape François, car pour ma part je n'ose imaginer qu'un homme d'Eglise porteur d'une telle élégance, sur la forme de sa pensée, et d'une telle hauteur de vue, sur le fond de sa vision, puisse ne serait-ce qu'être exposé à la tentation de reprendre à son compte des distinctions aussi discriminatoires et stigmatisatrices.

2. A l'intérieur de ces distinctions,

- d'un côté, il y a les catholiques "fermés", "idéologues", car "traditionalistes", "rigides", "tournés vers le passé", etc.,

- de l'autre côté, il y a les catholiques "ouverts", "évangéliques", car "rénovateurs", "chaleureux", "tournés vers l'avenir", etc.

3. Mais pour ma part j'ai déjà rencontré, et je ne suis pas le seul,

- des catholiques que l'on dit "intégristes" et qui étaient très "ouverts", notamment sur les évangiles,

et

- des catholiques qui se disent "progressistes" et qui étaient très "fermés", notamment à cause de telle idéologie.

4. Alors, qui est "ouvert", qui est "fermé", ou plutôt : qui est vraiment "ouvert", grâce à ce qui est avant tout surnaturel, théologal, et qui peut être indispensable à la survie du catholicisme, et qui est vraiment "fermé", à cause de ce qui relève seulement de l'immanence, et qui peut être préjudiciable à la survie du catholicisme ?

5. Comment se fait-il qu'un catholique que l'on dit intégriste, et qui est tellement ouvert sur Dieu, sur le seul vrai Dieu, Père, Fils, Esprit, et sur Son Fils unique Jésus-Christ, qu'il assiste à la messe une fois par jour, soit aussi facilement considéré comme un catholique "fermé" ?

6. Et comment se fait-il qu'un catholique qui se dit progressiste, et qui est tellement fermé sur autre chose que sur l'avenir du monde et sur l'extérieur de l'Eglise qu'il milite, à plein temps, sur une base droits-de-l'hommiste et vivre-ensembliste, soit aussi facilement considéré comme un catholique "ouvert" ?

Oui, vraiment, sur quoi donc un catholique dit "ouvert" est-il souvent fermé, et sur quoi donc un catholique dit "fermé" est-il souvent ouvert ?

Bonne journée.

Scrutator.
images/icones/1i.gif  ( 834282 )Catholiques "ouverts" ... par vistemboir2 (2017-09-02 17:09:30) 
[en réponse à 834278]

.. aux "migrants" musulmans ? Comme les Espagnols en 710 ou les Byzantins en 1453 ? En voilà qui auraient été sûrement félicités par François...
images/icones/1d.gif  ( 834307 )Pauvres Sainte Geneviève… par Marquandier (2017-09-03 19:55:20) 
[en réponse à 834282]

…et Sainte Jeanne d’Arc, on n’apprenait pas l’ouverture in illo tempore.
images/icones/hein.gif  ( 834305 )Un pape sous influence par Ritter (2017-09-03 18:39:20) 
[en réponse à 834241]

Pour celle qui lui apprit à penser la réalité politique, on est en droit de se poser de nombreuses questions, quand on constate ses positions sur les migrants.
Sa façon de faire face aux difficultés, comme celles apparues avec les Dubia, sont assez inquiétantes.
Quelle réalité politique lui aurait-elle donc apprise?

Son refus de porter un jugement, en se demandant qui est-il?
Nous fais nous interroger sur les conséquences de la psychanalyse.

si un problème apparaît, cela ne risque-t-il pas d'être plus grave, mais aussi trop tard pour 'Eglise?
Dans toutes les catastrophes on trouve plus de séquelles parmi ceux qui passent dans les mains des psychologues et autres, que parmi ceux qui les ont évités.