D'abord, les critiques ne portent pas sur "la trop grande bienveillance du Pape à l’égard des migrants", mais sur la trop grtand bienveillance du Pape à l'égard de l'immigration. Il y a d'autres moyens d'aider ceux qui en ont besoin et les déporter en Europe n'est pas la meilleure. Si au moins l'on dénonçait l'hypocrisie de ceux qui sèment le désordre dans plusieurs parties du monde tout en prônant l’accueil de ceux qui en paient les frais, l’accueil de l’autre serait alors plus audible. Mais au bout du compte, un Chrétien a le droit, et même le devoir de préserver sa nation, son identité, sa culture. A une échelle inférieure, que dirions-nous si le Pape nous demandait d’accueillir chez nous tous les nécessiteux, quitte à menacer l’équilibre et l’harmonie dans sa famille ? Si cela devait mettre en danger sa femme et ses enfants ? Le Pape aurait-il ce pouvoir, comme semble le penser Jean Ferrand ?

Je retiens aussi cette perle :

Ce n’est pas parce que l’Evangile rapporte la parole du Christ « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » Matthieu 28,19, que cela indique une hégémonie territoriale à atteindre.

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