On aurait donc un "ministre du sacrement", pas témoin de l'échange des consentements, qui "administrerait" (par définition) donc un sacrement, même à l'insu éventuel d'un des époux. Exit la "sacralisation" évoquée par Mgr car on ne parle ici même plus d'une bénédiction.
Comme "signe sensible institué par NSJC pour produire ou augmenter la grâce", on peut faire mieux...
Mais c'est une opinion.
Cordialement
Meneau
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !