Ces déclarations vétilleuses sont un héritage ratzinguérien et ont toutes échoué.

Le cardinal Castrillon Hoyos en a produit plusieurs, le cardinal Levada y est allé de ses déclarations de la même farine (2011-2012) et le même Levada avait usé de la plenaria de la CDF en mai 2012 pour faire capituler Benoît XVI, chose aisée.

Qui se souvient de l'ultimatum lancé par le cardinal Müller à peine arrivé en 2013, toujours aussi négatif et menaçant ?

Voici ce qu'écrivait La Croix alors qui est presque du copié-collé avec la dernière grenade dégoupillée du Cardinal allemand :

"Selon nos informations, Mgr Gerhard Ludwig Müller, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) et président de la Commission pontificale Ecclesia Dei, chargée du dialogue avec les lefebvristes, et Mgr Augustine Di Noia, vice-président de cette commission, ont adressé début janvier à Mgr Bernard Fellay, supérieur général de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX), une lettre donnant aux intégristes jusqu’au 22 février pour accepter la dernière version du Préambule doctrinal remise le 13 juin 2012. À défaut, Rome se réserve le droit de s’adresser à chaque prêtre de la Fraternité."
(15/02/2013)

On peut penser que le pape François qui n'attache pas au mot "doctrine" une valeur suprême comme on sait, en le regrettant parfois salva reverentia, poursuivra sur un chemin que l'ex-cardinal préfet de la CDF n'a jamais emprunté qu'à contrecoeur et en traînant les pieds.

Feu le cardinal Meisner avait déclaré ne jamais accepter dans son diocèse la FSSPX même était reconnue en pleine communion avec Rome, un ami du cardinal Müller.

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