Ce n'est pas parce qu'on a effacé la priorité de Dieu dans la liturgie qu'il y a eu une crise de l'Eglise, mais c'est parce qu'il y a eu une crise de l'Eglise qu'on a effacé Dieu de la liturgie.

Par l'effacement de Dieu dans la liturgie, on a pris acte, en quelque sorte, de son effacement dans les âmes, dans les esprits, dans les manières de sentir et de penser, ce qui n'a fait ensuite, bien entendu, qu'aggraver encore la crise de l'Eglise !

Le Concile Vatican II (1962-1965) est antérieur à la révolution liturgique (1969-1970).

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