Tout me semble plutôt clair :
page 27 et page 29 du livret. Ce sont exactement : « … l’Église pourrait donc admettre à la Pénitence et à l’Eucharistie les fidèles qui se trouvent dans une union non légitime, mais qui remplissent deux conditions essentielles : ils désirent changer de situation mais ils ne peuvent pas réaliser leur désir ». Et page 29 : « … cette intention est exactement l’élément théologique qui permet l’absolution et l’accès à l’Eucharistie, toujours, nous le répétons, en présence de l’impossibilité de changer immédiatement la situation de péché ».
1) Le cardinal affirme qu'il s'agit d'une situation de péché, et comme nous parlons d'adultère, péché mortel à partir du moment où les "pénitents" sont informés par le prêtre qu'il s'agit d'un péché grave.
2) Impossibilité de changer => On m'a toujours enseigné le contraire : que là où l'homme est trop faible, s'il requiert le secours du Ciel avec confiance, Dieu pourvoira à combler cette faiblesse (mais le cardinal et le pontife s'inscrivent en faux sur ce point).
3) Désormais, l'absolution et la communion peuvent être données sur un simple désir ou une intention (dans le texte) de changer, même si on sait d'avance qu'on ne changera pas immédiatement. C'est nouveau ça, non ?
Bref, FC est clair, le cardinal semble aussi très clair dans un sens différent, il n'y a aucun présupposé à avoir, il suffit de lire le texte et comprendre le sens des mots : le cardinal change l'acte de contrition, point à la ligne (pas final, car j'ai l'impression qu'on n'a pas fini d'interpréter AL qui est pourtant si clair, à en croire leurs auteurs).
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