La question est posée par la façon dont la Civilta Cattolica pose la question. Or ce journal voit ses articles validés par le Saint-Siège avant leur parution. Sandro Magister rappelle en outre que le directeur de la Civilta est jésuite et très proche du pape. Sandro Magister fait d'abord un rappel très net et très clair sur cette question qui a été tranchée par le pape Jean-Paul II qui, usant de son autorité Magistérielle a définitivement clos la question.

Pour rappel, on peut aussi souligner l'excommunication qui frappe désormais toute femme qui serait ordonnée "prêtre" et toute personne qui participerait à cette mascarade.

Voilà un extrait de Settimo Cielo:

Selon l'avis de «La Civiltà Cattolica», non seulement l'infaillibilité et la définition du «non» de Jean-Paul II aux femmes prêtres sont mises en doute, mais plus important que ce «non», sont les «développements que la présence de la femme dans la famille et la société a subi au 21e siècle. "

Ces développements - poursuit la revue dans son raisonnement - rendent désormais incompréhensibles les «raisons» (rationes) de l'interdictions «qui, plus que des expressions d'autorité, semblent signifier l'autoritarisme».

«On ne peut pas toujours recourir au passé, comme si seulement dans le passé il y avait des indications de l'Esprit. Aujourd'hui aussi, l'Esprit guide l'Église et suggère l'hypothèse courageuse de nouvelles perspectives. "

Et François est le premier à «ne pas se limiter à ce qui est déjà connu, mais à plonger dans un champ complexe et pertinent, afin que ce soit l'Esprit qui guide l'Eglise», conclut «La Civiltà Cattolica», évidemment avec l'imprimatur du pape.

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