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Sauf que dans le même temps, la confession avait quasiment disparu
par Glycéra 2017-01-25 09:25:12
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Alors, n'est-ce pas un encouragement de fait à aller communier avec une âme impréparée, mal purifiée, peu renforcée ?

A quoi sert de mettre dans sa musette des affaires pour un voyage quand on n'en pas les forces, ni idée de destination, ni carte ou direction de départ ?

Ne serait-ce pas ainsi que communier sans conscience de l'acte, sans confession ? La confession sans désir intime d'aimer Jésus, et de le suivre, dans tous ses gestes est-elle bénéfique ? fortifiante ? capable de faire le terrain d'une vraie comm-union (à Dieu) ?


Glycéra

grand'mère
avec une accent Glyc-é-ra
comme la bouquetière de St François de Sales...




PS Quant au poids social du regard imaginé des autres sur soi qui reste assis à sa chaise, cela me semble bien renverser la doctrine divine ! C'est du social terrestre, et non de l'apostolat...
Aller chercher une bénédiction pour être renforcé dans sa demande de conversion, est-ce la procession de communion qui en est le lieu ?
Est-ce que croiser les mains sur la poitrine n'est pas dire : je communie sur la langue ? Là, je ne comprends en rien votre proposition !

     

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 Avoir "vulgarisé" la communion n'est-il pas la vraie cause des remous [...] par Glycéra  (2017-01-24 19:14:05)
      En effet par Aigle  (2017-01-25 07:09:57)
          Sauf que dans le même temps, la confession avait quasiment disparu par Glycéra  (2017-01-25 09:25:12)


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