Un beau modèle que celui de votre empereur de patron, qui ne s'est pas prévalu de sa dignité pour penser qu'il saurait sauver son âme.

Alors ?
"Celui qui veut (par lui-même, seul) sauver sa vie la perdra" dit le Seigneur.

Accepter d'être imparfait.
Lire et relire, se nourrir de St François de Sales, le champion très doux et aimant des âmes qui voient leurs failles.Et leurs bourdes.

Entendre Ste Thérèse, et le cadeau de la faiblesse, ces misères que Dieu aime prendre pour nous aider, et pour les transfigurer.

2couter le père Molinié qui est dans cette lignée-là en des conférences spirituelles tantôt très faciles, tantôt très très approfondie et fines.


A vous dont le christianisme est encore enfant, je dirais qu'il y a une question essentielle à se poser :

non pas ai-je fait bien ? mal ? voyons la grille morale ou la liste des précepptes. C'est l'education de l'enfance psychologique.

L'adulte se demande : ai-je fait exprès de faire le contraire de ce que je savais juste devant Dieu, de ce qui plaît à DIeu, de ce qui est bon pour la nature que Dieu m'a faite ? Est-ce que je refuse l'offre d'aller à Dieu ?

Si la réponse est : non, je ne désire pas refuser Dieu, ni son Paradis, alors la vie sera réussie avec les lourdeurs et les misères que Dieu nous connaît. C'est lui qui nous a fait, et Il

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