Naguère encore, se trouvaient dans le chœur, vêtus de chapes somptueuses, des chantres, dont le nombre pouvait varier selon l'importance des fêtes, et chargés d'entonner le propre ou de répondre au prêtre dans les dialogues. Je les revois encore, et mon missel grégorien garde trace de leur rôle.
Force est de constater leur disparition quasi totale, y compris là ou la liturgie traditionnelle reste célébrée.
Je conçois que dans les petites chapelle de province, il n'y ait pas moyen d'avoir des chantres (sans comprendre bien comment c'était possible 'in illo tempore'), mais n'est-ce vraiment plus possible nulle part? Faut-il systématiquement qu'un groupe hétérogène de messieurs-dames habillés en tout-venant entonne ou réponde du fond de l'Eglise?
Philippilus
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