d'après l'italien (il faudrait lire tout ce texte !) :
Il a évité d'obéir, et il a demandé à plusieurs reprises une audience au Pape. Il a dû attendre, parce que plusieurs fois la rencontre a été repoussée. Finalement il a été reçu. Il a dit : "Sainteté, j'ai reçu ces lettres, mais je n'ai rien fait, parce que les intéressés sont parmi les meilleurs de mon dicastère... qu'ont-ils fait ?" La réponse a été : "Et moi je suis le pape, et je ne suis pas obligé de donner à qui que ce soit les raisons de mes décisions. J'ai décidé qu'ils doivent s'en aller, et ils doivent s'en aller." Il s'est levé, et il lui a tendu la main, pour signifier que l'audience était terminée.

Ha evitato di obbedire, e ha chiesto a più riprese udienza al Papa. Ha dovuto attendere, perché per varie volte l’incontro è stato spostato. Infine è stato ricevuto. Ha detto: Santità, ho ricevuto queste lettere, ma non ho fatto nulla, perché gli interessati sono fra i migliori del mio dicastero…che cosa hanno fatto? La risposta è stata: e io sono il papa, e non devo dare ragioni a nessuno delle mie decisioni. Ho deciso che devono andare via, e devono andare via. Si è alzato, e gli ha porto la mano, a significare che l’udienza era finita.

Il ne faut pas s'étonner si le climat, derrière les Murailles et dans les Palais, n'est pas vraiment au beau fixe. Et il faut se demander quel crédit donner à toutes ces fanfaronnades sur la miséricorde
Non c’è da stupirsi se il clima, dietro le Mura e nei Palazzi, non sia esattamente sereno. E c’è da chiedersi quale credito dare a tutto questo sfanfarare sulla misericordia.

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