Quelque chose de plus consensuel. Mais cela n'a pas été le cas.
"Mais alors... s'il n'y a pas de précédent, c'est que le cas de l'actuel Souverain Pontife est plus grave que ce qu'on croit.
Vous ne devriez pas dire ainsi du mal de lui".
Avec une petite émoticone souriante portant lunette noire.
Ce post n'est pas du persiflage, me dites-vous, mais de la "douleur" que je serais "incapable de respecter" (sic.). "Votre persiflage contre ceux qui disent leur souffrance est inadmissible", me lancez-vous, de sorte que mes "interventions ne peuvent pas être accueillies". Et bien...
Je ne vais pas polémiquer avec vous. Vous me dites que c'est une manifestation de souffrance et je vais donc vous croire puisque vous êtes prêtre.
Vous évoquez également un renversement des rôles estimant que vous "méritez un peu de respect de la part des simples fidèles". Vous me faites l'article de vos mérites et comme je ne doute pas qu'ils soient grands, je m'incline...
En réalité, tout ce respect vous l'avez, et c'est bien pour cette raison que votre attitude me trouble. Tout clerc ayant une obligation spéciale à témoigner respect au Pape, on ne s'attend pas vraiment à ce que l'un d'entre eux, non seulement s'oppose à ce dernier dans une discussion publique -ce que je pourrai comprendre-, mais en plus fasse de l'humour à ce sujet.
Il me semble qu'une telle réaction du fidèle de base n'est pas incompréhensible. Lui aussi peut être blessé...
Le croyant que je suis vous parle sincèrement. Je trouve singulier que ce soit le "simple fidèle", pour reprendre votre expression, qui prenne la défense du Pape et un prêtre qui -par souffrance, me dites vous- ridiculise l'un et l'autre. Car dans le post dont il s'agit, vous n'étiez manifestement plus sur le terrain de la simple discussion ou du débat.
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