la FIXETTE;

Je vous comprends, on ne parle bien, que de ce que l'on connaît. Vous pratiquez avec art.

Je me permets fraternellement de vous exhortez à plus de prudence, ainsi que la dame canadienne.
Pour deux raisons.
- 1 le fonctionnement d'un correcteur orthographique.
(Cela si on ne l'a pas appris, on ne le devine que très rarement)
(La composition de certains claviers)
- 2 il suffirait que je mette une vidéo, de ce qu'il advient quand je tape, pour que l'on comprenne, votre mode de fonctionnement envers certains, peut-être envers tous, et votre grande capacité, à juger ce que vous ignorez, et à en parler)

Après quelques échanges, avec vous par téléphone, dans le temps, j'avais une opinion de vous quelque peu différente, me suis je trompé?
Vous n'en avez certainement cure, mais autant ne pas le cacher.

Pour jejomau;

Quant à vous jejomau;
Je voudrais réparer une injustice,
Je vous prie de m'excuser de la manière dont vous fûtes traité, à cause du fil que j'avais ouvert.
Ce qui suit est pour vous

"Par cœur" l'expression remonte à Aristote, car Aristote pensait que le Cœur était le siège de la mémoire.

Enfin si par cœur, est synonyme pour vous de répétitions, et aussi de répétitions dans le temps, alors vous avez entièrement raison.
Car les connexions des neurones se font par la répétition (l'expression est courte, mais elle décrit ce qui se passe dans le domaine traité)
Donc plus il y aura de répétitions, plus il y aura de connexions.

Les marqueurs de la réussite en 6ème et pendant le collège, sont l'histoire géographie, et les sciences naturelles, et non pas les maths et le français;
Pourquoi, car l'essentiel du travail est plutôt un travail de mémoire, qu'un travail de raisonnement. Et cela encore longtemps aprés le collège.
Contrairement à ce que l'on croit le raisonnement est peu sollicité.
Comme cela fut souligné, il serait difficile de retrouver par le raisonnement, certaines règles de français, ou de mathématiques.
Quand un enfant apprend ses tables de multiplication par l'action (répétition en exercice) ou bien quand il redéveloppe ses identités remarquables, il ne fait rien de moins qu'exercer sa mémoire, et non ses capacités de raisonnement.
Un élève faisant l'effort d'apprendre par cœur, sera toujours plus performant qu'un élève qui ne fait pas cet effort, mais lui aussi passera nécessairement par le stade action;
Dans certains cas, la mémoire par l'action peut avoir plus d'efficacité, on ne peut le nier, ainsi Marchenoir a-t-il raison de faire apprendre par l'action, en y associant la répétition, ce qui revient à faire du par cœur, pour autant dans la complexité du sujet, ses élèves doivent avoir appris leurs cours.
Car si pour les choses simples on a constaté que l'action était suffisante, elle ne l'est pas pour des choses plus complexes, on peut se satisfaire d'un apprentissage par l'action des tables, des identités.(apprentissage qui se fait par la répétition, et finalement une autre forme de par cœur, plus longue dans le temps, efficace à cause de la répétition dans le temps)
Mais celà ne marchera pas pour l'addition des fractions, ou l'apprentissage de la règle semble plus efficace. L'action ne pouvant là, se dispenser de la connaissance de la règle.
Ainsi celui qui aura appris ces tables par cœur, aura dans l'action un avantage, mais celui qui les apprendra par l'action arrivera au final à les connaître, mettra beaucoup plus de temps.
Pour l'addition des fractions quand elles auront le mêmes dénominateurs, l'apprentissage pourra se faire par l'action, mais quand les dénominateurs seront différents, il faudra connaître la règle, l'action ne sera plus suffisante.
(origine de la confusion et du désaccord chez certains)
On peut les qualifier de caricaturaux, mais pour moi il s'agit plutôt d'un raccourci;

Alors selon le sens de vos propos jejomau, vous avez autant raison que M. Perrin, Meneau, Marchenoir, sur le par cœur essentiel.

Pour Glycera,
Quand un athée apprend ses leçons, il ne pense pas à Dieu, ce qui ne signifie pas que Dieu ne pense pas à lui, que la finalité de l'athée ne sera pas aussi Dieu, mais lui à cet instant, il n'en tient pas compte. Et il n'apprend pas pour Dieu, dans son sens à lui.

Combien d'élèves m'ont dit Dieu, cela, ne nous intéresse pas.

Quant à moi je tire ma révérence.

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