Ce "principe", même exprimé par le pape Bergoglio est évidemment faux.
Dans le cas de l'Eglise actuelle, il s'agit de la flagellation des choix antérieurs, de la coulpe battue sur la poitrine des autres... Et on y a perdu des pans entiers du peuple chrétien.
Là-dessus, on déclare (avec grande suffisance) que ce sont les "bons" qui restent.
Tout ça fait penser à un choix inverse. Le stupide principe de l'offensive à outrance adopté pour 1914 par l'état-major français (et d'autres). Les grands chefs ont bien dû adapter ces conceptions inopérantes.
Dans le cas de l'Eglise, sans passer par des "révisions déchirantes", elle se retrouvera prochainement dans la situation de mort clinique de l'Eglise anglicane.
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