Le problème est de savoir ce qui doit primer en l'occurrence : un rapprochement au prix d'un bilan comparable aux trois exemples donnés, ou une priorité donnée coûte que coûte au combat de la Foi, fût-ce au prix d'une marginalisation grandissante de la FSSPX ?
Je ne nie pas que la position de la FSSPX est délicate et que le temps joue un rôle. Je ne nie pas non plus la nécessité de maintenir un lien avec Rome en relançant par exemple les discussions doctrinales, ou par des contacts locaux menés avec une saine prudence, pour que la fraternité joue un rôle d'"aiguillon" dans l'Eglise.
Mais tant qu'un pape traditionnel dans sa doctrine n'aura pas été élu, un accord me paraît aller contre toute prudence. Et que la crise dure encore vingt ou cent ans, il me semble que les barrières tomberont d'elles-mêmes lorsqu'il y aura convergence doctrinale entre Rome et la fraternité.
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