D’accord , mais comment pouvez-vous , par un tour de passepasse , donner de l’importance au tout et inclure voir fondre en un tout, des parties complétement opposées?

Bonjour Minger, la réponse c'est saint Paul qui la donne :"Ainsi quoique beaucoup, nous sommes un seul corps en Jésus-Christ, étant tous en particulier les membres les uns des autres." Romains XII, 5. L'Eucharistie est bien le sacrement de l'unité et qui fait que la charité du Christ nous habite si nous communions au même corps, en ayant bonne conscience.

Je ne veux pas du tout opposer le corps entier et ses parties en citant Aristote, simplement voir que la valeur du tout est bien plus que chaque individualité en état de grâce et additionnée. La dialectique n'est pas mon propos.

Le monde moderne et certains hommes d'Eglise donnent plus de valeur à chaque individualité, croyant que par là le bien commun se fera, alors qu'en faisant cela ils détruisent chaque individualité, et en fait détruisent l'ensemble. La vue de l'ensemble, voilà qui doit guider les chefs, du fait de cette citation d'Aristote.

     

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