Je pense qu'avec le recul du temps on s'apercevra que le pontificat de Benoît XVI ne réunissait pas les conditions qui permettaient la restauration que nous appelons de nos voeux.

C'est le pontificat désastreux que nous subissons actuellement qui, paradoxalement, en suscitant des anticorps (je crois que ce mot vient d'être utilisé par Mgr Fellay) chez tous ceux qui ont conservé le sensus fidei, rendra possible une telle restauration.

Pour qu'il y ait une véritable restauration, il faut que les conséquences des principes à l'origine de la décadence liturgique, dogmatique et maintenant morale de l'Eglise manifestent toute leur malfaisance.

Je pense que François est à l'Eglise ce que l'Islam est à l'Occident. Ils sont à la fois conséquences et aboutissements de la décadence et principes de renouveau.

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