E — Nous irons à Rome, c’est fatal, nous n’avons pas le choix; l’autoritaire François veut la régularisation, pourquoi la refuser ?
PP — Oui, mais s’il obligeait dorénavant la célébration du NOM, par exemple ?
E — Alors là, je peux vous dire, dans ce cas ça barderait, et pas un peu, … Oh là là ! ce serait comme en 1988, non mais !
PP — Ah, oui, … et que s’est-il passé en 1988 ?
E — Eh bien, nous sommes retournés à l’hôtel à pied.
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Blague à part, cher Monsieur,
scénario 1 : Vous êtes en train de nous faire croire que vous allez jouer la version de Chaperon Rouge où le rideau se ferme sur un bras-dessus bras-dessous du loup avec sa proie Vous exprimez cela un peu autrement : « le pape ne donnera pas le choix. Il est autoritaire et il imposera (la régularisation)». Tous ceux qui ont essayé avant vous y ont laissé des plumes, sinon la peau. Bonne chance, mais sans moi et sans regret !
scénario 2 : Il faut refuser les conditions imposées par le pape, comme en 1976 ou 1988, « les conditions n’étaient même pas envisageables », dites vous. Mais alors, seriez-vous un sedev… - restons polis - potentiel qui s’ignore ? Re-fu-ser à un pape autoritaire sa légitime autorité ??
Allez, je ne vous dénoncerai pas.
PP
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