Sieur Paterculus,
"Qu'il soit pour toi comme un païen et un publicain"
ne dit pas
- ne le vois plus jamais
- ne passe pas de moments d'amitié (honnête) avec lui
- déteste-le
- fais comme s'il n'existait plus
Ainsi des échanges de croyants avec leurs intimes, même sur des sujets sensibles ou qui fâchent, ne sont-ils pas nécessaires ?
Sinon qui leur parlera, à par des "lointains" (des non proches) ?
Je le comprends comme :
° marque bien els domaines, ceux de confiance et ceux de différences,
° sache ce que tu crois et tiens pour l'essence de la vie,
° sois vigilant à l'endroit où il marche, et sois pour lui un repère stable,
= en gros, fais comme agit ton ange gardien pour toi.
Je ne comprend pas que Jésus aurait dit : ne le fréquente plus, ne lui donne aucune marque d'affection.
Délicat...
Surtout quand c'est un de ses enfants, ou petits enfants.
Marquer dans l'échange vrai, sans fard, avec mansuétude et droiture, où sont les limites de notre chez nous.
Par exemple : je ne reçois pas "ton petit ami" en ma maison, et je n'accepterai pas de rentre chez toi-vous, mais si tu le désires, en une rencontre juste, et respectueuse (pas tueuse), je veux bien prévoir de visiter un musée, une église, marcher au long du lac... Car c'est rencontre en terrain d'autrui.
Ai-je tort ?
Sur quel précepte ?
Quelle autre référence ?
Vous vous doutez que j'ai eu le cas, lourd et douloureux.
Avec mes sincères salutations
Glycéra
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