Voilà ce qui me vient en lisant ces lignes, défiantes, méfiantes, pas patientes, devant les actes qui nous échappent.
Qui aurait voulu que le Pape fasse ci, ou ne dise pas cela ?
On peut poser une question, Jésus aime cela, quand elles sont intègres, franches.
Il renvoie dans les cordes ceux qui font semblant d'interroger, et qui en fait trichent leurs grammaire pour cacher le reproche sous une forme déférente et polie à un "maître" qu'ils sont furieux de ne pas contrôler...
Oui, Dieu permet.
Pour quel but ?
Pour nous faire poser des questions ?
En nous-même ? Aux autorités ? Au Pape même ?
N'importe, quand ce sont d'honnêtes questions.
Alors la réponse éclaire.
Elle éclaire autant le questionneur que le répondant.
Comme un médecin apprend son métier en répondant aux questions de ses consultants. Et cherche plus profond pour mieux soigner.
Je me demande souvent, quand j'entends critiquer tel ou tel, si haut dans la hiérarchie, surtout devant Dieu, et je me dis : mais de quoi a peur cet homme là ? Ne manque-t-il pas de foi pour s'inquiéter ainsi de tout, et de tout ?
"Où étais-tu quand je créais le ciel et les étoiles ?"
demande Dieu à Job, pour lui faire prendre conscience du manque de fond de ses questions !
Glycéra
qui répond à Sieur sans peur... et à tout les autres, qui masquent leur peur... sous des belles raisons peu raisonnées...
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