En vertu de quelle autorité un prêtre schismatique pris isolément pourrait-il remettre les péchés ?
En dehors de l'état de nécessité qui confère juridiction à tout homme revêtu de la grâce sacerdotale, je ne vois pas comment ce serait possible.

J'aurais pensé que, dans le cas des Eglises schismatiques orientales, la validité des absolutions venait de la juridiction que les évêques ont conservée malgré le schisme. Ne s'agit-il pas de cela ? J'imagine qu'il y a eu des opinions théologiques très partagées à ce sujet.

Le cas du mariage est différent, puisque l'obligation ad validitatem d'échanger ses consentement devant curé et témoins est une règle de discipline qui ne concerne que les membres de l'Eglise.

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