Superbe ! par jejomau 2015-08-18 10:27:34 |
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ce témoignage que j'ignorais complètement !
Et quand on voit le rôle joué par les Français et la France en ce domaine, on ne peut que rappeler les propos du petit Van (en voie de béatification) :
« Oh !! Petit frère, il faut que tu pries vraiment beaucoup pour la France, surtout pour que les français soient toujours prêts à répandre mon Amour dans tout l'univers. Mais il faut faire en sorte que le règne de mon Amour s'établisse au plus intime de du cœur des français. Le mois prochain, ta sœur Thérèse te donnera une formule de prière à cette intention. Je ne t'ai pas demandé de prier spécialement pour aucun autre pays, je te l'ai demandé uniquement pour la France. Quand la France a la joie de t'avoir comme intercesseur, que peut-elle désirer de plus ? (Jésus souriant à Van). De plus, ces prières ne sortent pas de la bouche d'un homme de ce monde; elles ont leur source dans mon Amour même. Etant favorisée à ce point, qu'est ce que la France peut désirer de plus ? Et pourtant, il y a encore un très grand nombre qui ne savent pas m'aimer... O mon enfant, écoutes et écris ce que je vais te dire au sujet de la France. Mon enfant, prie pour le pays que j'aime particulièrement. Ah ! La France...La France... Si on ne prie pas, elle sera encore une fois malheureuse et le règne de mon Amour ne pourra que s'y établir que difficilement. O mon enfant, ne doute pas de ce que je viens de te dire en voyant que le situation de la France est déjà un peu plus stable.Mon enfant, je parle ainsi pour que la France soit avertie et sache prendre des précautions car l'ennemi veut faire de ce pays un foyer de discordes. Mon enfant, il faut beaucoup de prières.... France, France, promets-tu de m'être fidèle ? Es tu décidée à protéger et étendre le règne de mon Amour dans le Monde ? Après la menace du communisme, le Seigneur en évoque une autre, plus subtile et progressive : « Petit apôtre de mon amour, écris au sujet de la France… Français, mes enfants, et vous, mes prêtres de France, je vous aime. Soyez sur vos gardes afin de prévenir. L'ennemi de mon amour va vous lancer avant tout son poison à la tête. Soyez sur vos gardes. Ce parti, contrairement au parti communiste, ne nuira pas directement à mes enfants. Il ne détruira pas d'un seul coup le pays que j'aime, mais il le détruira peu à peu. Oui, peu à peu, il va se propager, peu à peu il va vomir sa fumée infernale pour vous faire mourir asphyxiés : il agira de façon à vous éloigner peu à peu de mon amour, pour vous rapprocher progressivement de l'amour profane. Oui, mes enfants, il agira ainsi peu à peu… Ayez confiance en mon amour, CONSACREZ VOTRE PAYS A MON AMOUR… Mieux vaudrait pour la France être gouvernée par un homme du peuple à l'esprit obtus, que de l'être par un ennemi de mon amour qui la mènerait à la ruine complète… » (11 Novembre 1945, apparition de N.S. Jésus-Christ à Van)
« Pendant la bénédiction du Très saint sacrement, j'ai vu Jésus assis me prendre sur ses genoux (j'avais alors la taille d'un petit enfant) et m'étreindre dans ses bras. Je ne cessais de le regarder et lui, de son coté, me regardais aussi puis, approchant son visage du mien, il me donna un baiser. Ensuite, me faisant signe de regarder devant moi, il me dit à l'oreille "Regarde la France, regarde la France". Je tournai donc la tête et portai mon regard dans la direction qu'il m'indiquait de la main; j'aperçus un drapeau noir qui était planté là. Quand à ma sœur Thérèse, de son bras gauche, elle m'entourait l'épaule gauche et de ne cessait de me regardait en souriant comme si elle n'avait pas remarqué le drapeau planté devant elle... Un instant après, Jésus regarda ma sœur Thérèse et dit " Pauvre France ! Une fois libéré du communisme, elle aura affaire à une société secrète plus perverse encore : la Franc-maçonnerie". Puis il me dit : " Mon enfant, prie pour la France, sinon malheur à elle". En disant ces paroles, il avait l'air plus triste qu'auparavant, mais je n'ai pas vu pleurer. J'ai constaté seulement qu'il fixait du regard le drapeau noir qui se trouvait là; puis me regardant de nouveau, il sourit et me recommanda de vous communiquer ces choses... Durant la méditation qui suivit je revis ma sœur Thérèse. Elle avait d'abord les yeux fixés sur le drapeau puis elle me regarda de nouveau, ne cessant de sourire. Mais au moment où elle leva une seconde fois les yeux vers le drapeau noir, les larmes inondaient son visage. le regard fixé sur le drapeau, elle ne cessait de verser d'abondantes larmes. J'en fus tellement ému que je me mis moi même à pleurer. Thérèse pleurait toujours. C'était la première fois que je la voyais pleurer ainsi. Maintenant encore, quand j'y pense, je ne peux retenir mes larmes. Ma sœur leva ensuite les yeux sur Jésus qui, lui ne pleurait pas, se contentant de regarder le drapeau. j'ai entendu alors ma sœur Thérèse, toujours en pleurs, parler à Jésus en français. je n'ai retenu que quelques mois que, d'ailleurs, je ne peux écrire correctement....Elle disait " O mon Jésus...Jésus. Embrasse toi... La France...."C'est tout ce que j'ai retenu et je n'y comprends rien. Ma sœur Thérèse me regarda de nouveau, ses larmes avaient cessé de couler et elle me dit. "Mon cher petit frère, qu'es ce que tu penses de cela ?" Je me contentai de lui répondre "Tout ce que je peux faire c'est de prier" Elle ajouta " Oui, mon petit frère, prie, ne cesse de prier ". Vers la fin de l'oraison, je vis que le drapeau noir était brisé et qu'il gisait par terre. Alors, Jésus se pencha de nouveau sur moi..Comme au début..Thérèse fit de même et je ne vis plus rien, si ce n'est mes larmes qui coulaient en présence d'un si grand amour... Quand je me voyais assis sur les genoux de Jésus, je tenais en main du papier et une plume et j'étais très beau, n'ayant pas la taille que j'ai maintenant mais celle d'un enfant de 4 ans. Ma sœur Thérèse était, elle aussi très belle. Cette fois, je l'ai vue plus distinctement; son visage frais et souriant venait encore ajouter à ma beauté. Petit enfant de mon amour, écoute ! Je vais te dicter une prière et cette prière, je veux que les Français me la récitent :
"Seigneur Jésus, aie pitié de la France ! Daigne la serrer sur ton Cœur ; montre-lui combien tu l'aimes. Purifie-la ; fortifie-la dans ton Esprit Saint. Que la France contribue à Te faire aimer de toutes les nations ! O Jésus, nous autres Français Te promettons fidélité. Oui, nous nous engageons à travailler d'un cœur ardent à l'extension de ton Règne sur la terre, ne comptant en rien sur nous, mais uniquement sur Toi. Amen. » (Cette prière aurait été dictée par Jésus-Christ le 14 novembre 1945 au jeune novice rédemptoriste Marcel Van)
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