celui du FMI, de l'UE, celui dont rêve M. Macron, celui qui a torpillé les efforts de politique écologique d'ensemble que même N. Sarkozy avait tentés d'esquisser ... rappelez-vous. Le même qui veut ramener le peuple grec à une misère absolue après avoir exonéré les banquiers qui, avec les précédents gouvernements grecs, sont les responsables premiers de la situation etc.
Au-delà du réchauffement climatique, consensuel en effet et dont les preuves s'accumulent sauf pour les quelques "climato-sceptiques" souvent liés à des multinationales, François est cette fois bien dans la Tradition catholique depuis Rerum Novarum 1891.
Qui connaît un peu sa "Doc-soc" (doctrine sociale de l'Église) ne sera pas surpris ; d'ailleurs Benoît XVI en 2009 avait abordé ces questions dans le même sens.
Le pape rappelle simplement que pour la foi catholique même l'économie-monde est soumise au principe supérieur du bien commun, au-dessus du profit individuel et d'un groupe particulier.
Ceci contamine les débats éthiques dits de société : quel est la part hideuse de "l'économie de la santé ou plutôt de la mort" derrière les slogans doucereux des vendeurs de mort à l'hôpital ?
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