loin de tenter de lui imputer personnellement une prétendue bévue, on ferait valoir que Mgr. Barros n'est lui-même aucunement accusé d'actes abjects (c'est le père Karadima le coupable) mais "seulement" de non-dénonciation de ce qu'il aurait, parait-il, vu alors qu'il n'était que séminariste et pour laquelle il n'a pas été poursuivi par la justice civile, et que c'est cette accusation elle-même, portée par un journaliste, surgit tout à coup lors de cette promotion à la tête de ce diocèse alors que Mgr. Barros est évêque depuis vingt ans, qui pourrait nous paraitre suspecte.

Et de se demander, après avoir vérifié, sait-on jamais, si peut-être il n'est pas philo-tradi, si à travers lui ce n'est pas le Pape, déjà mis en cause explicitement pour cette nomination artificiellement controversée, que l'on souhaite atteindre. Et l'on se réjouirait au contraire que Rome tienne bon.

Au pire on mettrait tout ça sur le dos de la Congrégation pour les évêques, qu'on suspecterait au passage d'avoir voulu embarrasser notre bon Pape.


Mais voilà, le Pape régnant, c'est ... François ...

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