pas une dépressurisation, mais une dépression du pilote Lubitz qui avait conduit à interrompre sa formation au pilotage pendant 6 mois en 2009, nous apprend un magazine allemand aujourd'hui. Pour ceux qui ont suivi la conférence de presse du pdg de Lufthansa, cela explique la fébrilité et les cachotteries de celui-ci. Pourtant, Lubitz n'est pas un cas unique. Un journaliste spécialisé a relevé plusieurs crashs volontaires d'avions pilotés par des dépressifs suicidaires
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