Est-il possible de trouver une voie pour qu'un divorcé remarié puisse retrouver une vie cohérente avec la Foi. Où doit-il être éternellement voué aux gémonies ? Même un criminel, après une réelle repentance, peut se réintégrer dans l'Eglise.
Tout le problème vient du fait que le criminel (meurtrier ou autres) a commis un acte ponctuel, alors que le divorcé remarié commet un pêché "continu" dans le temps. Je n'ignore pas cette distinction.
Mais tout de même, ce juridisme conduit a mieux traiter un repris de justice qu'un divorcé remarié. Est-ce juste ?
Rechercher "une" solution me semble légitime, car c'est un phénomène de société dont l'Eglise, qui a agit avec légèreté en distribuant le mariage à n'importe qui, est aussi responsable.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !