Dans le sens chrétien du terme, on se repent d'un péché, pas d'un "échec".
Plus précisément, il doit se repentir de quoi ?
De son premier mariage ?
D'avoir rompu son premier mariage ?
D'avoir pris une autre femme (ce que Jésus qualifie d'adultère) ?
D'avoir institutionnalisé cet adultère par le tampon du Maire ?
Cela dit, dans le cas que vous évoquez, un premier mariage purement pour le folklore, j'ai l'impression que si c'est "vraiment vrai", les officialités devraient le constater et déclarer la nullité.
L'Eglise est totalement désarmée face aux fiancés qui disent mensongèrement "oui" à toutes les questions du curé, pour lui faire plaisir et obtenir de se marier à l'Eglise.
Ces fidèles ont le droit de se marier - et à l'église ! - aussi longtemps que le curé n'a pas démontré qu'ils mentent.
Si le curé a un doute, il ne peut que les exhorter, encore et encore, et puis c'est tout.
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